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La lecture de cette annexe est extrêmement conseillée pour bien cerner le contexte du forum, merci de bien la lire.
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 alfie ∞ I understand, i just don't care

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MessageSujet: alfie ∞ I understand, i just don't care   alfie ∞ I understand, i just don't care EmptyLun 14 Juil - 7:54



ALFRED LETHBRIDGE
No matter what anybody tells you, words and ideas can change the world.
   




NOM : LETHBRIDGE. Comme mon père, rien d'original là dedans. Du côté de Cardiff, on sait toutefois que cette famille est à éviter. La plupart sont des bons à rien, des escrocs à la petite semaine. Mon père en est d'ailleurs le plus illustre représentant. PRÉNOM(S) : ALFRED est mon premier prénom. Mais la plupart des gens m'appellent Alfie. Mon second prénom est GERRAINT, comme mon grand père. C'est avant tout un prénom typiquement gallois, qui reflète mes origines à la perfection. AGE : VINGT QUATRE ANS. Né en fin d'année, j'approche tout doucement du quart de siècle. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : je suis né un DOUZE NOVEMBRE dans un petit hopital en banlieue de CARDIFF, PAYS DE GALLES. STATUT CIVIL : EN COUPLE, même si les choses ne semblent plus aussi simples depuis quelques temps. ORIENTATION SEXUELLE : HETEROSEXUEL. GROUPE : SINCÈRE. STATUT DU SANG : NÉ MOLDU c'est bien simple, avant moi, on n'avait jamais imaginé un seul instant que la magie puisse être réelle. Nous étions une famille de moldue tout ce qu'il y a de plus banale, plongée dans l'ignorance du monde qui nous entoure. ANNÉE / MÉTIER : j'entame ma NEUVIÈME ANNÉE au sein de Lungard. DON/PARTICULARITÉ MAGIQUE: rien qui ne vaille la peine d'être mentionné. ANIMAL DE COMPAGNIE : Je possède un chat, qui répond au nom de LORD NELSON, en hommage à l'amiral du même nom, qui avait donné son nom à la rue dans laquelle j'ai trouvé le chaton, errant. Le greffier est particulièrement caractériel, et il ne fait pas bon s'approcher de lui lorsqu'il n'a pas envie de compagnie. BAGUETTE : Ma baguette est sculptée dans du bois de chêne. Cet arbre est symbole de force. En son centre, on trouve un ventricule de coeur de dragon. En tout, elle mesure un peu plus de vingt sept centimètres. Elle est, parait il, idéale pour les duels et les sortilèges. PATRONUS : Mon patronus est une CORNEILLE. EPOUVANTARD : Mon épouvantard ressemble à s'y méprendre à la mère de Donnie, mon demi frère. En elle même, la femme ne me fait pas peur. En revanche, c'est tout ce qu'elle représente qui me glace le sang. Ce changement qu'elle a amené dans ma vie et face auquel je me sens honteusement perdu, en colère. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX : honnête, mais pas trop. studieux. volontaire. facilement dans le doute. impatient. idéaliste. caractériel. très ambitieux. acerbe. râleur. loin d'être aussi parfait qu'on le prétend. CRÉDIT : tumblr.



   
chinese portrait
UN SENTIMENT  : la colère. UNE COULEUR : le rouge. UNE MATIÈRE SCOLAIRE : les sortilèges. UN RÊVE : réussir sa vie, sortir de cette spirale infernale qui voit tous les membres de sa famille se contenter d'une vie médiocre. UN ÉLÉMENT : le feu. UN SORT : lumos. UNE POTION : véritaserum. UNE RELIQUE DE LA MORT : la baguette de sureau. UN PÉCHÉ CAPITAL : l'envie.



   
tell me who you really are
PRÉNOM / PSEUDO : violaine. AGE : 25 ans. RÉGION : centre alfie ∞ I understand, i just don't care 619713293. FRÉQUENCE DE CONNEXION : no life. COMMENT ETES-VOUS ARRIVE SUR LE FORUM ? par sa première version, je ne pouvais pas passer à côté de la seconde. AVATAR : écrire ici. AUTRE CHOSE ? ARTHOUUUUUR, CUILLÈRE!.


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MessageSujet: Re: alfie ∞ I understand, i just don't care   alfie ∞ I understand, i just don't care EmptyLun 14 Juil - 7:55



Stories can conquer fear, you know
C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.
   




La grande silhouette de ta mère disparait au loin, sans un bruit. Ca y est, elle est partie. Pour toujours ? Tu espères bien que non, mais tes tripes te disent le contraire. Tu le sais, elle ne reviendra pas. Elle part sans toi, elle n’emmène que le strict nécessaire, et tu réalises alors que tu n’en fais pas parti. Son propre fils, oublié, laissé derrière comme un moins que rien. Tu pourrais lui en vouloir, ou t’en vouloir à toi. Si elle part sans toi, peut-être est-ce ta faute ? Mais là encore, tu n’en fais rien. Tu connais déjà le coupable. Ton père, ce bon à rien, cet escroc à la petite semaine, ce minable qui a, malgré lui, fait comprendre à ta mère qu’elle gâchait sa jeunesse dans les bras d’un imbécile. Alors si elle part, c’est de sa faute. Et si elle t’abandonne, c’est parce qu’elle craint qu’à ton tour, tu ne deviennes comme lui. Un raté, un voleur. Et en cela, elle te connait bien mal. Tu as l’ambition qui semble faire défaut à ton père. Le goût du travail acharné, cette volonté de quitter cette banlieue misérable pour une existence nouvelle. Tu veux partir, grandir, montrer de quoi tu es capable. Tu aimes ton père, mais tu ne voudrais lui ressembler pour rien au monde. Il vole, arnaque, se prend pour le roi des voleurs. Mais la réalité est toute autre : enivré du matin au soir, il n’impressionne plus personne. Le roi des voleurs n’est qu’un pauvre idiot, dont la réputation le dépasse : à Cardiff, même les plus naïfs lui ont tourné le dos depuis longtemps. Il faudrait être fou pour faire affaire avec Nigel Lethbridge. Il écume les bars, trainant son gosse derrière lui. Il n’a pour amis que des piliers de comptoir, des gens qui ne savent toutefois que trop bien qu’il ne se privera pas de leur laisser payer la note. Lui, c’est ton père. Et tu n’as pas de quoi être fier. Pourtant, sous ses airs maladroits, sous cette malhonnêteté permanente, tu sais qu’il tient à toi. Qu’il ferait tout pour t’offrir un plus bel avenir que le tient. Il le dit à la terre entière : son Alfie est sa plus grande réussite. Il mise beaucoup sur toi, tu le sais. Et ça ne te motive qu’encore plus à réussir. Alors au fond, si ta mère s’en va, ça n’est pas la fin du monde. Elle ne voyait en toi que le fils de ton père, que cet enfant destiné à marcher dans ses traces. Ton père, lui, il te connait vraiment. Il connait tes doutes et tes craintes, il voit en toi des capacités qu’il n’a jamais vu en lui. Il n’est peut-être pas le plus malin, mais pour toi, il pourrait déplacer les montagnes.





Tu tiens dans ta main la poignée de la porte, tu t’y accroches, comme si la lâcher pouvait te faire sombrer. Tu viens de recevoir une claque. Le genre de nouvelles qu’on ne peut ignorer, qui change ta vie en un instant. La femme qui se trouve face à toi, petite et maigre, le visage marqué par la fatigue, semble attendre ta réaction. Ton visage reste pourtant vierge de toute émotion. Tes yeux ne trahissent pas la panique qui s’insinue en toi. Tu ne sais pas quoi faire. Tu hésites même à refermer la porte au nez de cette femme, à faire demi-tour et prétendre que tout ceci n’est jamais arrivé. Un frère, tu as un frère. Ou un demi-frère, en réalité. La nouvelle te laisse presque chancelant. Ca n’est pas possible. Même ton père n’en sait rien. Et tu aurais voulu qu’il en soit autant pour toi. Mais maintenant, tu sais, et tu te sens perdu. Tu n’as jamais voulu d’un frère. Ton père et toi, vous vous suffisez amplement l’un à l’autre. Tu n’as jamais eu l’intention de le partager. Peut-être est-ce égoïste, mais tu ne veux pas qu’un autre puisse être proche de lui. Tu veux rester unique. Ta mère est partie sans un bruit, et ton père est tout ce qu’il te reste. Cette femme à ta porte menace ton équilibre, déjà si frêle. Elle persiste à chercher dans tes yeux la lueur qu’elle espère tant. Si elle vient te voir, plutôt que ton père, c’est parce qu’elle sait que dans cette maison, c’est toi l’adulte. Elle attend de toi que tu acceptes ce frère, que tu lui offres la famille qu’elle voudrait pour lui. Mais tu ne peux pas. Ou plutôt, tu ne veux pas. Ce garçon n’est rien pour toi. Rien, sinon celui qui peut briser ton existence telle que tu la connais. Tu ne peux pas lui faire une place dans ta vie. Qu’elle le garde, son bâtard, pourquoi devrait-il être ton problème ? Après un silence qui sembla durer une éternité, tu finis par reprendre tes esprits, sûr de toi. « Je ne peux rien pour vous. On n’a rien à lui offrir. On n’a pas d’argent, si c’est ce que vous voulez. » Tu fais fausse route, tu le sais. Tout le monde sait que les Lethbridge n’ont pas un rond. Elle ne vient pas pour ça, c’est évident. Ce qu’elle veut, c’est que son fils ne soit plus seul. C’est louable. Mais elle n’est pas venue trouver la bonne personne. Tu n’es qu’un gosse, douze ans à peine. Et l’idée qu’un frère vienne menacer ce lien si complexe et si fort que tu as avec ton père te semble intolérable. Alors quand elle reprend la parole, les yeux embués de larmes, tu ne ressens pas sa peine. « Tu ne comprends pas, Alfie… » Tu ne la laisses pas finir. Tu ne veux pas entendre ses arguments, parce que c’est plus facile ainsi. Tu n’auras pas à te sentir coupable si tu ne l’entends pas crier sa détresse. C’est bas, ça ne te ressemble pas. Mais tu ne veux pas que les choses changent, pas encore. « Il n’y a rien à comprendre. On ne peut rien pour vous, oubliez nous. » Tu fermes brusquement la porte, apercevant un bref instant la tristesse qui vient d’imprégner ses traits. Tu t’es montré particulièrement cruel, égoïste. Une attitude qui ne te ressemble pas. Tu restes perplexe un instant derrière la porte d’entrée. Tu tends l’oreille, et tu entends le moteur de sa voiture qui redémarre dans l’allée. Tu respires à nouveau. Et tu te fais la promesse que plus jamais tu n’auras à repenser à cet instant. Tu es Alfie Lethbridge. Ton père n’est peut-être pas parfait, mais tu n’as que lui, et tu sais désormais que tu n’auras pas à le partager.


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