Pseudo: Maiween King
Faction: Sincères
Particularité voulue: Clairvoyance
Motivations:
Voici la manière dont j’imagine ce don pour Maïween, il aurait toujours eut un rôle à jouer, et aurait autant évolué qu’elle durant toutes ces années. Il fait partie intégrante de sa personnalité et a eu beaucoup d’influence dans les choix qu’elle a faits. Cela a aussi entrainé la mauvaise estime qu’elle a désormais d’elle à cause des remarques qu’on fait les autres à son sujet et au sujet de ce don plutôt controversé au sein de sa famille. En effet, elle est née d’une union hors mariage et c’est sa mère qui lui a permis d’hériter de ce don. Cela rappelle un mauvais souvenir constant à son père et à la femme de celui-ci.

Il y avait les regards sur son dos, mais c’était comme s’ils la traversaient. Elle était transparente pour eux,  fragile enfant aux longs cheveux noirs de geai. Toutes les pensées, tous les murmures et les souffles retenus étaient tournés vers la personne face à elle, qui avaient elle-même le regard Ils ne savaient pas ce qu’ils risquaient, ils ne savaient pas qu’on n’apprivoisait pas les serpents. Qu’ils resteraient les plus sauvages créatures du règne vivant malgré tous les artifices et les manipulations. Mais elle restait concentrée, parce qu’à chaque faux pas, c’était la crise qui prenait le contrôle de son être et elle savait bien que cela pouvait être violent, parfois, elle en ressort tellement affaiblie qu’elle est incapable de parler correctement. Et il ne fallait pas que ça arrive, grand poids sur de frêles épaules, elle sentait ses mains s’engourdir et des gouttes de sueur perler sur son front et sa nuque. Elle connaissait désormais ses visions, elle arrivait presque à les contrôler, à ne pas faillir sous leur assaut. Pourtant cela lui avait fait peur, au début, de savoir que le passé et l’avenir étaient à portée de main pour elle, les premières crises l’avaient tétanisée, elle n’avait pas compris ce qu’il se passait, elle avait peur et se pensait maudite, mais, dès qu’elle a commencé à comprendre ce qui lui arrivait, à donner un sens à ses flashes, à ses visions, elle a prit cela comme un véritable don de dieu, un moyen d'aider sa famille, une capacité à améliorer coute que coute, c'était sa plus grande fierté.

Au sein du cirque, elle faisait figure d’exception, mais, elle n’était pas pour autant mise à l’écart. Dans la grande famille dans laquelle elle a grandis, la différence n’était pas un défaut, c’était monnaie courante. Elle a toujours évolué au milieu de monsieur muscles, femme à barbe et clowns tristes et au fond, peut-être que le fait de parler du passé et de l’avenir comme d’un livre l’a seulement aidée à se faire sa place dans la fratrie. Déjà que la découverte de ses dons magiques a entrainé une grande joie au sein des roulotes, ses affinités avec les souvenirs n’ont fait qu’entrainer l’admiration de ses pairs. Qui aurait pu croire que l’orpheline sortie de nulle trouvée sur les marches d’une église de village était en réalité aussi unique que chacune des étoiles de la voute céleste ? Certainement pas les nomades qui, de bonté d’âme l’ont adoptée. Ils ne le regrettèrent jamais, travailleuse et pleine de bonnes intention, Maiween a toujours insisté, du moins, à partir du moment où elle a pu s’en rendre compte, pour aider ses ainés, passant d’assistante d’un lanceur de couteaux, à funambule ce n’est pourtant que la découverte de son don qui l’a fait entrer dans la lumière. Et elle a fait la renommée de son cirque. Totalement dévouée à son foyer elle n’aurait jamais pensé à garder cette capacité pour elle et de l’utiliser pour servir ses propres intérêts. Mais c’est bien différent aujourd’hui.

La capacité de clairvoyance n’est jamais apparue comme une malédiction aux yeux de Maïween. Plutôt et surtout un grand cadeau malgré les crises qui suivaient ou précédaient les flashes au début.  Bien sûr, elle ne savait pas ce que cela signifiait vraiment. Elle ne savait rien de tout ce monde qui évoluait dans son dos. Magie ? Foutaises, ce n’était qu’un talent comme les autres, un don. Habituée aux voyants et autres mentalistes elle ne pensait pas être différente avec ses flashs constamment dans son sillage. Mais tout cela a bien changé. Lorsqu’elle a tout appris sur sa nature, sur ce qu’elle était au-delà d’une fille du cirque, à partir du moment où ce qu'elle considérait comme un don et devenu son fardeau, plus jamais elle n'a souri en voyant un flash décrivant le futur proche d’un des élèves. Au fond, elle en souffrait, c'était comme si on lui enlevait une partie d'elle-même, elle qui avait toujours été habituée à en user et en abuser. Parce qu'au château, être différent n'était pas bien vu, surtout quand cela concernait la vision du passé et de l’avenir, des malédictions ou des grandes joies mais parfois des pressages plus que funestes. De tout ce que ses camarades remarquaient, elle ne retenait que les avantages et la rareté de sa capacité. Si, durant son enfance, elle n’était pas encore convaincue de ses capacités à maitriser ses visions, désormais, elle est beaucoup plus sûre d’elle. Depuis qu’elle a rencontré sa famille biologique, elle n’use plus ses pouvoirs pour amuser le public, elle manipule, inquiète et menace ceux qui peuvent l’empêcher d’arriver ses fins, il lui arrive même de tricher, d’inventer des visions pour les mettre à ses pieds, elle est devenue ambitieuse Maïween, et surtout cupide. Quiconque l’écarterait de son héritage passerait quelques mauvais moments, elle a aussi appris à inquiéter par la force de ses sorts. Pervertie par l’amour de l’argent et du pouvoir elle oublie totalement ces moments où elle se sentait chanceuse de posséder ce don. On a réussi à lui mettre dans la tête que le don  de clairvoyance était plutôt une malédiction, qu’elle allait avoir un destin tragique et ne faire que de mauvais choix, qu’à cause de cela, c’était une mauvaise personne. Et elle s’est décidée à donner raison à toutes ces mauvaises langues. Quitte à avoir le mauvais rôle, autant en profiter.


Merci d'avance de me lire  

Pseudo: Milo Flores.
Faction: Fraternel.
Particularité voulue: Lycanthropie.
Motivations: Il a été mordu, à l'âge de cinq ans. Milo et ses parents étaient en vacances, à Jayena, en Espagne, où habitent toute la famille de son padre. Le petit homme, qui avait soif de découvrir le monde autour de lui, a réussi à se faufiler hors du champ de visions de ses parents. Sa madre était en train d'essayer d'arrêter son padre de détruire l'étang où il était en train d'essayer vainement de pêcher, muni d'une canne à pêche moldu. Milo s'est enfoncé dans la forêt, sans savoir que son destin le toisait dans l'ombre. Ce danger qui était tapi dans l'obscurité des grands pins qui cachaient le soleil avait suivi les Flores jusqu'à cette forêt. Il avait soif de revanche. Il voulait punir Michelle Lodge, la guérisseuse qui essayait de trouver une solution définitive au "problème loup-garou". Quel meilleur moyen de se venger que de contaminer son enfant ? Milo s'était enfoncé, encore plus profondément, jusqu'à s'asseoir sur un arbre mort qui s'était effondré sur le sol mousseux de la forêt. Il se savait perdu. Le pire, c'est que du haut de ses trois ans, il se sentait espionné. Il se mit alors à pleurer alors que ses parents, Oscar et Michelle, venait seulement de remarquer son absence. C'est à ce moment que Lorenzacio Espinosa sortit des buissons derrière lesquels il se dissimulait. Sa peau était presque entièrement recouverte de poils. Il était plus loup qu'homme, même sous sa forme humaine. Milo avait redoublé ses pleures à la vue de cette créature qui n'avait qu'une envie : déchirer le petit garçon qui se trouvait devant lui. Mais il réalisa son plan à la lettre, sans se laisser envahir par son envie de tuer. Lorenzacia Espinosa, loup-garou, venait de mordre Milo avant de le relâcher, sans prendre soin de le reposer par terre. Il s'était effondré par terre, sans vie, étourdi par la douleur.
Depuis dix-huit ans, Milo se transforme, à chaque pleine lune. Son père lui a très vite fait comprendre qu'il devait assumer sa condition et ne pas en faire une faiblesse, mais une force, et ne laisser personne l'utiliser pour l'atteindre d'une façon néfaste. "Tu es un loup-garou, ne l'oublie jamais, car il y aura toujours quelqu'un pour te rappeler que tu es une créature magique, en plus d'être un sorcier".
Milo est un loup-garou assumé, qui ne se cache pas : tout Lungard est au courant et il n'en a pas honte. Il a réussi, malgré sa condition, à se créer des amis, à être entouré d'une bande de potes qu'il aime profondément, et c'est sa plus grande victoire. Il a fait de sa différence une force et mène une vie presque totalement normale : il est impliqué dans la vie de l'école, il joue au Quidditch, il apprend la magie, comme tous les autres. Mais il sait aussi parfaitement que, même depuis la fin de la guerre, les loup-garous sont encore craints. Il sait que chaque jour sera un défi pour se faire respecter, et il sait que ce sera encore pire lorsqu'il quittera Lungard.

Pseudo: Aedès Petridis
Faction: Audacieux
Particularité voulue: je sais que je suis la troisième personne en peu de temps à en faire la demande, mais je tente quand même ma chance pour la lycanthropie, puisque j'ai imaginé Aedès avec cette malédiction toute la journée.  
Motivations: Le purgatoire lui rit au nez, léchant son visage de coupures de bois, alors qu'il court à travers les bois sombres, terrifiants. Les arbres le narguent, s'abaissant sur lui, l'emprisonnant dans des étreintes meurtrières. Plusieurs fois, il sombre sur les feuilles mortes, collantes, permettant à son cauchemar, son bonheur, de se rapprocher de plus en plus de son cœur palpitant. Il le sent d'ailleurs monter dans sa gorge, prêt à y éclater dans un tourbillon de peur, jusqu'à ce qu'il le vomisse. Il s'enfuie d'un être aimé, un monstre déguisé dans une peau douce et souriante. Il ne comprend pas, oh, son esprit torturé, troublé, ne saisit pas la terrifiante vérité. Alors il court, écorchant ses membres tremblants sur la forêt rusée, le rendant aussi aveugle qu'un handicapé sans son guide. Jusqu'à ce que le vide se dessine sous lui, et il se trahit d'un cri désespéré, aigu, brisé par sa voix essoufflé, sa gorge si sèche qu'elle se déchire presque d'un tel assaut. Mais ce n'est rien, comparé au néant qui l'accompagne, qui le trahit et qui lui vole toute chance de survie. Car quand à nouveau ses prunelles terrifiées trouvent la lumière, il rencontre le regard noir, vide, meurtrier d'une bête aux dents acérées. À nouveau, il se déchire la trachée, incapable de réagir, pétrifié comme s'il venait de recevoir un sort en pleine gueule, alors que la bête s'élance vers sa proie condamnée.

douze ans.
L'acceptation est impossible, l'enfant refuse d'entendre une quelconque vérité sur les faits passés. Non, son meilleur ami ne s'est pas transformé alors que la lune était pleine, grosse, magnifique. Non, aucun monstre n'a déchiré sa parfaite chaire, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien d'humain chez Sven. Non, il n'a aucune cicatrice sur son épaule, preuve irréfutable, constamment douloureuse, d'une vie changée à tout jamais. Non, il ne s'est pas inconsciemment protégé en usant d'un petit couteau de chasse dissimulé dans sa botte, éventrant le loup-garou avant qu'il ne le tue. Non, les loups-garous n'existent pas, même dans le monde magique, ce n'est qu'un mythe. Non. Non, non, non.

seize ans.
Acceptation difficile, cachée, mais inévitable. Pleine lune après pleine lune, rage après rage, c’est plus facile de dire oui. Si on veut acquérir une certaine force, un certain contrôle, battre cette noirceur qui s’enracine tranquillement sur son âme. C’est plus facile de dire oui, mais ça fait toujours aussi mal, ça déchire le cœur jour après jour, comme si les tissus se régénéraient après chaque lacération imaginaire. Il accepte, mais ne s’accepte pas. Il se tortille continuellement dans un lac de remords, d’une colère sourde, une éternelle punition qu’il cache sous une façade de bétons. Fier, arrogant, c’est un faux semblant qu’il offre au monde en enfilant son costume d’héritier à l’avenir prometteur. Il a beau être un monstre, il a de l’ambition. Alors il ronge son secret, se retient comme il peu de ne pas vomir sa haine et son désespoir dans la gueule des autres.

vingt-deux ans.
C’est difficile, inconcevable, qu’il garde tout ce mal à l’intérieur. Il est pourrit jusqu’à la moelle, et parfois, il s’échappe, le mal, il est plus rusé que lui. Elle brûle, sa belle image, dans une longue agonie. Instable, dangereux, c’est un cas à surveiller. S’il tremble, c’est qu’il est sur le point de craquer, alors s’il ne s’évade pas lui-même, il faut le faire. Au cas où il perdrait la tête, au cas où. Il a une part en lui qui est le mal, et il l’a tellement repoussé au fond de son âme qu’elle s’échappe vague après vague. Il ne se contrôle plus tellement bien, mais son secret est bien gardé.

vingt-quatre ans.
Il bouille, s’indigne, mais il est cet animal pris en cage. Bloqué, il marche constamment dans ses propres pas, incapable de voir clair, incapable de calmer son loup intérieur. Quelqu’un sait, quelqu’un veut l’exposer, et il est terrifié. Il est plus irritable, plus instable, il s’impatiente à attendre. Quoi? Qui? Il n’en sait rien, mais il ne veut pas qu’on sache son terrible secret. Il est un monstre, il ne peut pas être un monstre. Il a tué, en devenant ce monstre, son propre meilleur ami, et personne ne peut lui faire entendre raison : c’était un meurtre, pas de la légitime défense. On essaie de l’amadouer, le flatter dans le sens du poil. Mais il est un monstre, il est pris au piège, et il s’énerve, tranquillement. Une bombe à retardement, et sa neuvième année commence.


Comment je vois les choses, version un peu hs du reste du texte, c’est Aedès qui ne s’aime pas, tout simplement. Je vais plus développer ses plusieurs facettes dans ma fiche, mais il sent son âme noire, et même s’il tente de projeter une belle image, il se sent sale. Il a peur de laisser une marque indélébile sur les autres, et c’est pour quoi il tente de rester à une certaine distance, même s’il est attiré par ceux portant une certaine lumière, les sorciers qui semblent si frais, si bien. Il a beaucoup de difficulté à se contrôler, il semble constamment marcher sur un fil de verre, mais je le vois pas péter les plombs au point de s’en prendre à quelqu’un quand il est sous forme humaine (sauf pour des batailles typiques entre mecs, quoi). Et voilà, ma vision de Aedès avec le trouble de lycanthropie. Peu importe votre verdict, il restera avec cette personnalité on edge, alors merci, simplement.   

Vos demandes sont acceptées pour tous les deux, pour faire court, on a tout simplement adoré vos visions des choses et on a hâte d'en savoir encore plus en dévorant vos fiches   

ah, merci beaucoup, ça fait plaisir.    je me lance dans ma fiche ce soir alors.   

Hey  je tente également ma chance  

Pseudo: Anastasya Le Fey
Faction: Érudits
Particularité voulue: Animagus
Motivations: Il faut tout d'abord savoir que c'est une histoire de famille chez les Le Fey de devenir animagus. En effet, la célèbre sorcière Morgane le Fey était connue pour être une animagus oiseau et certains de ses descendants ont choisi de suivre ses traces. C'est ainsi qu'en grande admiratrice de son aïeule et en passionnée de magie qu'elle est, Anastasya s'intéressa de très près à cette particularité, jusqu'à devenir à son tour une animagus. Mais ne vous méprenez pas, ce n'est pas par pure et simple inspiration familiale que la belle s'est consacrée à l'apprentissage difficile et long que demande une telle transformation. Dès son plus jeune âge, la demoiselle a toujours été une très grande ambitieuse, elle aime énormément se surpasser dans ce qu'elle entreprend et se donne corps et âme à son travail. Érudite digne de sa faction, la française est une élève sérieuse et appliquée au sein de l'école de sorcellerie. Sa curiosité et son envie d'apprendre semblent intarissables. C'est au travers de sa grande passion pour la lecture qu'Anastasya a appris énormément de choses sur les animagi, ce statut si particulier et digne du plus grand intérêt. L'idée de pouvoir se métamorphoser en animal tout en conservant ses facultés mentales d'humaine lui plut beaucoup. Avide de challenges et cherchant sans cesse à exceller davantage dans ses études et dans sa vie sorcière, cette idée a germé très tôt dans son esprit. Bien sûr, elle était consciencieuse de la difficulté et du travail que cela demandait, mais le travail et la difficulté étaient loin de lui faire peur ou de l'arrêter, elle possédait en elle une envie et une volonté de fer, peu importe les sacrifices à réaliser, et autant vous dire que la demoiselle n'était pas du genre à baisser les bras ou à accepter l'échec. Sa famille avait d'ailleurs coutume de dire que la motivation et la persévérance faisaient partie des clés conduisant à la réussite. Et puis l'inconnu n'effrayait guère cette aventurière dans l'âme en quête de nouvelles découvertes. Elle travailla ainsi sans relâche tous les jours, des heures durant, aidée par un animagus expérimenté, ami des Le Fey, qui eut la gentillesse de lui apprendre tout ce qu'elle devait savoir pour réussir au mieux. Elle mit près de sept ans à réussir une telle métamorphose sans danger. L'exercice lui demandait une concentration énorme et s'avérait très épuisant aussi bien physiquement que mentalement, mais Anastasya se montra courageuse et déterminée afin d'acquérir cette caractéristique si chère à ses yeux. Tel était le prix à payer pour obtenir ce qu'elle désirait, car si l'effort était à la limite du supportable, la moindre petite amélioration, la moindre petite étape supplémentaire franchie était, quant à elle, une exquise récompense.

Au travers de son entraînement quotidien, la française apprit énormément d'elle-même. Elle apprenait à écouter et à apprivoiser ce corps qui était le sien mais auquel elle n'avait pourtant pas porté si grande attention jusqu'alors. Elle se découvrit également au travers de cette métamorphose si particulière qui reflétait ce qu'elle était au plus profond d'elle et de son âme. Ce qu'elle éprouvait était un sentiment bien difficile à décrire, il fallait le vivre pour en saisir toute l'ampleur et la complexité. C'était comme une sorte de voyage initiatique, une quête d'identité où l'on finit par tout comprendre de soi-même. Et ce n'est que lorsque la symbiose entre l'âme et le corps est parfaite que la transformation réussit. Un travail immense qui réside dans l'art infime du parfait équilibre. C'est de cette manière qu'un beau jour la sorcière réussit enfin à découvrir l'animagus qui sommeillait en elle. Pas un oiseau comme son aïeule, non, un chat, voilà ce qu'elle était. Un malicieux félin au pelage soyeux aussi adorable de l'extérieur que fourbe de l'intérieur, tout à l'image de la demoiselle. Ce roi de la sournoiserie n'est pas sans rappeler l'ambivalence du caractère de la brune, mais aussi sa grâce et son agilité. Elle se retrouve complètement dans ce chat indépendant et curieux, qu'aucun obstacle ne peut empêcher d'aller où bon lui semble.

Visualiser la forme de l'animal et étirer son corps dans tous les sens ne se faisaient pas sans douleur ni sans risque, même avec la bonne volonté d'Anastasya. Plus d'une fois, et malgré sa très bonne pratique de la magie, la métamorphose n'aboutissait à rien ou se passait particulièrement mal. Le plus difficile était pour elle d'allonger sa colonne vertébrale, ce qui lui valut de nombreux maux de dos pendant plusieurs années. Mais petit à petit, la sorcière s'améliorait, même si la progression se faisait lentement, prenant beaucoup de temps. Et après des années de dur labeur, elle parvint finalement à maîtriser l'art très technique de cette métamorphose. A ce jour, Anastasya se transforme plus facilement et plus vite qu'à ses débuts bien que la tâche reste encore hasardeuse et demande énormément de concentration. Elle souffre également moins qu'avant et ceci ne fera que de s'atténuer avec les années de pratique. La demoiselle ressent une forme de plénitude, de bien-être, une fois sa transformation effectuée. Elle se sent en quelque sorte invincible, inatteignable sous sa forme de chat sauvage, libre de toute contrainte, comme déconnectée du monde et des problèmes humains. La jeune femme apprécie de pouvoir se divertir l'esprit tout en gambadant là où le vent la mène, d'autres fois, elle cherche simplement un peu de calme et de solitude pour mieux réfléchir. Par ailleurs, sa forme physique n'est pas le seul changement qu'elle ait pu observer en devenant animagus ; cette particularité lui a apporté bien plus : de nouvelles aptitudes très développées. Ainsi, en plus de posséder une agilité à toute épreuve et de pouvoir se mouvoir dans n'importe quel petit recoin, son côté félin lui a permis de décupler tous ses sens de manière extraordinaire. Sa vue se veut alors perçante dans la pénombre du soir, son ouïe peut capturer des sons à des kilomètres à la ronde, son odorat aussi distingue des odeurs jusque là inconnues pour la française. Naturellement, une fois sa forme humaine retrouvée toutes ces caractéristiques disparaissent, bien qu'avec le temps, elle soit devenue une bien plus fine observatrice et développe une meilleure intuition suite à ces expériences magiques répétées. Enfin, si sa forme animale influe sur sa forme humaine, la réciprocité est de mise. De ce fait, elle conserve, une fois métamorphosée, d'intenses yeux bleus ainsi qu'un pelage sombre et mordoré rappelant sa chevelure.

J'avoue que j'ai un peu débordé par rapport aux motivations, mais j'étais tellement inspirée  donc désolée d'avance pour ce roman et merci pour la lecture 

bonjour, bonjour

Pseudo: Korë Ioannis
Faction: audacieuse
Particularité voulue: clairvoyance
Motivations: La famille Ioannis est une famille de sang pur très portée sur l’histoire la sienne tout particulièrement. Alors que les enfants sont jeunes, ont leur donne des livres parlant de chacun des membres important de cette famille. En gros, un processus très long et pas particulièrement intéressant. Cependant Korë n’y a pas échappé. Vous ne pouvez pas vous imaginez le nombre d’heures qu’elle a passé à lire et pourtant cela ne la dérangeait pas plus que cela. C’est ainsi que tu as découvert que ton père n’était pas le tien. À vrai dire cela faisait longtemps qu’elle était consciente de ton don. Mais elle n’en avait parlé à personne. Au départ ce n’était que de petite vision en touchant certains objets et après  ce fut des personnes. Ça l’amusait beaucoup à vrai dire, car qu’elle ne comprenait pas l’ampleur de son don. Alors tu as cherché encore et encore de qui pouvait bien te venir le don. Voyant qu’aucun des Ioannis n’avait possédé ce don avant elle, elle se rendit chez sa grand-mère maternelle pour lui poser des questions concernant la famille. Elle savait que celle-ci en savait beaucoup malgré son âge avancé. Alors elle lui dit qu’elle avait fait des recherches sur la clairvoyance et qu’elle trouvait le don intéressant et elle voulait savoir si elle avait des chances de développer ce don. Cependant la réponse fut négative. Aucun membre de la famille de sa mère n’avait eu ce don. Korë ne comprenait donc pas ce qui se passait. Elle ne savait pas pourquoi elle possédait ce don, qui était héréditaire. Elle ne devrait donc pas posséder le don en question. Elle a donc été voir sa mère. Et elle n’a pas eu le choix de lui dire. Elle était bien la fille d’un homme avec qui sa mère avait eu une aventure.

Son don lui vient dont de la famille de son vrai père. Dans cette famille le don est considérer comme étant une malédiction plus qu’autre chose. Le don est incontrôlable, mais cela la miss ne le sait pas encore. Pour le moment elle se débrouille plutôt bien avec celui-ci. Son père a eu la chance de ne pas le développer, cependant visiblement, elle a eu moins de chance que lui. Cependant, puisque Korë sait très bien que tous les membres des Ioannis connaissent leur histoire par cœur, elle sait bien que l’homme qui devait être son père sait que le don n’est pas dans sa famille, ni même dans celle de sa femme. Donc s’il venait à découvrir que sa « fille » le possédait, il serait au courant que celle-ci n’est pas la sienne. C’est donc pour cela que Korë a très peur qu’il l’apprenne. Ayant peur du rejet, si sa famille lui tournait le dos, elle en serait détruite. Alors elle se tait, tente de faire comme si rien n’était lorsqu’elle a des visions. Elle n’en parle jamais, avec personne et d’ailleurs il n’y a qu’elle et sa mère qui sont au courant. Elle tente d’ignorer les visions qu’elle a, mais ce n’est pas aussi simple, visiblement. Elle voit la mort, la vie. Elle savait bien que sa sœur allait tombée enceinte, mais elle a dû attendre qu’elle le soit avant de pouvoir réellement y penser. Et ensuite, elle a fait une fausse couche. Et Korë était au courant avant que cela ne se produise. Elle est constamment stressée concernant son don, qu’on le découvre, qu’on la rejette. Elle commence à le détester de plus en plus.

Les avantages : Voir l’avenir est bien sûr tout un avantage. Elle peut ainsi prédire ce qui viendra, ce qui lui permet une certaine stabilité. C’est sûrement pour cela qu’elle a  choisi de rejoindre les audacieux d’ailleurs. Parce que parfois, oui elle court des risques, mais elle en connait l’issue. De plus, même si elle le fait d’une manière très subtile, elle arrive à prévenir les gens avant qu’il leur arrive des malheurs. En forme de conseil. Tu ne devrais pas sauter. ou encore Tu verrais, ça l’ira mieux. Ils n’ont qu’à croire ce qu’ils veulent, elle les aura prévenue et elle aura fait sa part. Malgré tout, elle a toujours du mal avec ton don.

Les inconvénients : Quand tu ne souhaites pas qu’on découvre un don, le caché est vraiment très difficile. Car quand elle touche quelqu’un et qu’elle voit quelque chose à propos de son avenir, il n’est pas toujours facile de ne pas montrer que quelque chose ne va pas. Lors qu’elle a vu la fausse couche de sa sœur, elle paraissait horrifiée. Sa sœur se demandait donc ce qui se passait avec elle. Cela lui demande donc de mentir, assez fréquemment. Elle doit à tout prix nier son don, mais elle déteste mentir. De plus, celui-ci lui rappelle sans cesse que son père n’est pas la sien, qu’elle n’aurait jamais dû venir au monde. Et cela la change peu à peu, car elle se renferme un peu plus chaque jour sur elle-même. Car elle est terrifiée.

Le don sera donc un élément très important de son histoire, car si elle ne l’avait pas, elle ne saurait très certainement pas qu’elle n’est enfaite pas sang pur. De plus cela pourrait ruiner ses relations avec les autres membres de sa famille, ce qu’elle ne souhaite pas du tout. Je pense que cela pourrait donc rendre le personnage unique et vraiment particulier. Et il y aura ainsi une possibilité de développement pour le futur. Comme par exemple l’éventuel moment où son père va découvrir que sa femme l’a trompé. Le moment où ses futures fiançailles vont tombés à l’eau par qu’elle n’est pas de sang pure et donc que les enfants ne le seront pas non plus. Peut-être pas le rejet qu’elle s’était imaginée cependant, parce que sa famille l’aime malgré tout, que c’est plutôt sa mère qui vivra les conséquences. En gros, j’ai vraiment pleins d’idées avec ce don et je pense qu’il serait vraiment mis en valeur, vu l’ampleur qu’il a dans la vie de Korë

merci d'avance   

Pseudo: César Rosebury
Faction: Audacieux
Particularité voulue: Clairvoyance
Motivations:
Le savoir, César baigne à l'intérieur  depuis sa naissance, son père étant journaliste de renom et sa mère écrivain. Le jeune garçon a donc toujours été au courant des affaires qui se tramaient dans le pays avant même qu'elles apparaissent dans le journal. Il a d'ailleurs toujours fait preuve d'une curiosité affolante et d'un talent pour obtenir des informations... En définitive César était le garçon qui pouvait développer une particularité tel que la clairvoyance. Celle-ci est apparu à la suite de sa puberté, lors de son passage à l'âge adulte vers les seize ans. Elle se manifeste de temps à autres depuis qu'il apprend la magie, des flashs, des images au commencement. Ces images peuvent être n'importe quoi, une pomme par exemple et étrangement le cour de métamorphose du jour  consiste à transformer une balle de tennis en pomme écarlate. Il peut lui apparaître également le visage d'un inconnu qu'il va finir avec le temps par connaître et qui va avoir une incidence positive ou négative sur une scène de la vie courante. Plus son niveau de magie augmentait, plus son don c'est vu attribuer de nouvelle caractéristique. Avant d'avoir eux des visions, sa clairvoyance se manifestait bien plus dans ces rêves. Des rêves prémonitoires qui réapparaissaient dans les mois suivants car César était incapable de pouvoir savoir de quoi demain sera fait ou encore de savoir comment il va terminer... Cette particularité lui permet surtout de sonder les gens, il se trompe rarement et parfois sa clairvoyance lui permet de savoir lorsque la personne parle ou le fixe dans les yeux si le protagoniste est négatif ou positif. C'est la facette de son pouvoir qu'il contrôle le mieux. Il préfère ne pas trop se fier au vision trop flou car celle-ci ne sont pas tout à fait exacte, certains détails ne se reproduisent pas, il lui est arrivé de pousser son professeur de potion au sol en plein cour car il aurait du normalement s'y produire une explosion qui par erreur n'a jamais eu lieu. César du donc en guise de punition ranger tous ses ingrédients dans son armoire poussiéreuse toutes les semaines pendant un mois.  Seul tes amis les plus proches sont au courant pour ton pouvoir, tu ne préfères en parler à personne car les gens te prendraient pour un fou et puis on ne pense qu'au vision les plus noirs quand on pense au médium alors que cela n'est souvent pas le cas.  C'est la clairvoyance qui te fait d'ailleurs hésiter en ce moment sur ton orientation sexuelle car des flash et songes te montre des scènes érotiques en compagnie de jeune garçons ce qui te chamboule plutôt beaucoup. Tu ne sais plus démêler le vrai du faux ce qui peux parfois te détruire de l'intérieur. Ce pouvoir te sert également pour le Quiditch. Tu as été sauvé de nombreuses frappes de cognards grâce à tes flashs. Tu as finis par te rendre compte que ton altération devenait plus fréquente lors des moments les plus propices, lorsque l'adrénaline est à son maximum!

La clairvoyance m'inspire beaucoup, elle apportera un peu de piment à mes rps et me donnera la possibilité de construire une avancé pour mon personnage, je compte vraiment sur votre accord. Certes mon niveau d'écriture ne dépasse certainement pas beaucoup de personnes, il est aussi probable de retrouver quelques fautes par ci par là du à une longue pause mais j'aimerai vraiment que ce compte me permette de me poser enfin sur un forum dans lequel je me sens bien  et ou je puisse enfin me perfectionner et surtout m'amuser. Voilà tout ce que j'avais à dire, à vous de me juger.  Bonne soirée !   

Anastasya, c’est oui pour nous !

Korë, dans l’état actuel des choses, c’est plutôt non pour nous… En fait on comprend l’intérêt, mais tu n’as l’air de vouloir te servir de ton don que pour des personnages non joués. On voit pas trop ce que ça peut t’apporter en RP, quand tu ne pourras pas jouer la découverte de l’infidélité de ta mère, la rupture avec ta famille… Ca semble un peu fouillis pour nous ! Cependant la porte n’est pas fermée, développe la façon dont ton don te servirait à Lungard, là où tu pourras vraiment le jouer ?


César, c’est parfait pour nous, c’est oui !

Merci beaucoup  

Merci!  

Pseudo: Kirsteen Rgayen
Faction: Chez les Audacieux.
Particularité voulue: Métamorphomage.
Motivations: Etant adoptée et réticente à connaître l'identité de tes véritables parents, tu n'as jamais voulu entendre parler d'eux et n'as donc jamais su s'ils étaient ou non des sorciers. Tu ignores ainsi de qui tu tiens ton statut de sang-mêlé; en effet, même si l'on devine assez facilement que tu n'as pas de liens de parenté directs avec les Rgayens, sachant que tes parents adoptifs proviennent de la branche sang pur tandis que ton oncle et ta tante soient passés au statut de famille sang mêlée, on ne peut savoir si tu es née de moldus, d'un couple mi-sorcier, mi-moldu ou de sangs purs. Officiellement, tu es considérée comme sang pur: seule ta famille adoptive est au courant de la valeur de ton sang.
De ce fait, tu ignores complètement la provenance de ton don, s'il provient de ta mère, de ton père, ou si tu l'as développé indépendamment. De temps en temps, quand tu ne trouves pas le sommeil ou que tu t'ennuies, tu te poses des questions: tu te dis que, si l'on entend plus parler de ton paternel, si il a si facilement disparu, c'est qu'il a peut-être changé. D'identité, d'apparence et de vie. Pas moment, quand tu es victime d'insomnies ou que tu n'as rien à faire, tu te demandes si il s'est remarié, fondé une famille ou s'il a abandonné d'autres gosses derrière lui, si ces dits gosses sont comme toi, bizarres et désœuvrés.
Les souvenirs s'effacent peut-être avec le temps, mais les photos restent. Il y en a une qui te montre bébé, sûrement à deux ans, quand tu commençais à te prendre en main et à tenter de poser un pied après l'autre: sur cette photo, Djaime avait immortalisé ton petit peton droit qui s'était changé en palme de canard, volatile que tu avais dû certainement retenir d'un livre pour enfants. Mais ce genre de souvenirs, tu ne les as découverts que lorsqu'on a jugé bon de te les montrer. Du coup, avec les cadres accrochés aux murs et les photos exposées dans les albums qu'on montrait sans cesse, tu te pensais être une fille tout à fait normale. Puis il y eu l'incident avec ta cousine Kani alors que tu n'étais même pas encore entrée en CE2, un jeu qui tourna mal à cause d'une grimace, d'une mauvaise farce mal calculée.
Ce fut une très mauvaise passe pour toi, et ta mère n'avait pas besoin de te le demander pour savoir que tout allait de travers dans ta petite vie: tu ratas même des mois de cours à cause de ça, et l'aveu de ton adoption ne fit qu'empirer les choses pour toi. Tu passais tes jours et tes nuits dans ta chambre à te poster devant ton miroir et à te voir comme un monstre; par moment tes transformations te faisaient sursauter, t'effrayant plus qu'autre chose. La fin du primaire se passa plus ou moins bien. Tu amusais la galerie en changeant tes cheveux de couleur (contre ton gré): contrairement à ta cousine, tes camarades ne semblaient pas avoir aussi peur de toi, et même si ce statut de cobaye ou clown de service ne te plaisait pas tant que ça, tu préférais les faire rire plutôt que de les faire pleurer. Au collège cependant, tu devins un peu plus anxieuse, plus parano, et les conseils d'Arys n'y changeaient rien, sûrement à cause des phéromones; satané adolescence. Tu étais devenue de plus en plus sensible à ces transformations qui ne prévenaient absolument pas: à chaque fois que tu te perdais dans tes pensées, que ce soit par ennui en cours, à cause d'une réflexion poussée ou d'une forte concentration sur une personne ou un animal, il t'arrivait de changer de physique brusquement, sans que tu ne t'en rendes vraiment compte jusqu'à ce que tu observes les airs ébahis ou horrifiés des visages alentours. Tes fréquentations se sont réduites, tes sourires raréfiés et tes complexes amplifiés: t'étais du genre à te cacher des autres, que ce soit sous des sweats amples, des bonnets, derrière des murs, dans ta chambre ou dans le noir. L'anonymat sur Internet t'aidait à te sentir un peu moins seule; tu te croyais seule au monde, tu te croyais être la seule à avoir ce genre de problème, à avoir à faire face à ce type de situations désastreuses. Tu étais tellement désespérée qu'un jour, suite à une permutation de ton bras avec l'aile d'un oiseau, tu en arrivas à te râper la peau avec tout ce qui te tombait sous la main afin d'éliminer ces plumes de malheur que tu ne désirais aucunement: passage obligatoire à l'hôpital. On fit passer l'incident pour une tentative de suicide ratée tellement tu avais saccagé ton avant-bras; entre-temps, Arys te fit comprendre que la solution n'était peut-être pas de combattre, mais de faire avec.
Ainsi donc, depuis le lycée, tu es au courant de l'existence de la magie et de ce qu'elle renferme, tu sais dorénavant que tes parents adoptifs étaient des sorciers, des sangs purs (!), une légilimenne et un être de lumière et tu te rendis compte du nombre incalculable de gens que tu voyais quotidiennement, dans la rue, au supermarché ou à l'école, et qui étaient tout sauf normaux, en gros tout sauf moldus. Tu te mis alors dans la tête de contrôler ton don, si bien que tu bâclais carrément tes devoirs ou tes répétitions de danse pour t'entraîner à maîtriser tes transformations: tu commençais à décomplexer, à te sentir mieux dans ta peau, à mieux te connaître toujours un peu plus chaque jour. Tu étais même devenue abusive à ce sujet, mais continuellement: tu avais réalisé oh combien c'était bon d'être métamorphomage, oh combien c'était la belle vie d'être sorcière. Il ne t'arrivait pas un jour sans que tu ne fasses une blague à quelqu'un ou ne vole quelque chose incognito, sans que tu ne récites des formules apprises ici et là, sans que tu ne puisses t'empêcher d'aider un ami ou n'en profites pour faire des bêtises en tout genre.
La mort d'Arys te fit revenir sur terre de façon brutale, et ta maladie te coupa l'herbe sous le pied sans prévenir. Il te fallait changer: revoir tes options, reprogrammer ton système, te réorienter, devenir adulte; mais à la place, tu n'as fait qu'enjoliver ta carapace de sourires et de beaux regards pour mieux te planquer à l'intérieur et rester dans ta zone de confort malgré les petits efforts que tu entreprends pour t'en déloger.

PLEIN DE BISOUS (LMAO MON PAVÉ PARDON PARDON) ILYSM.