NOM : carpenter, le nom de jeune fille de sa mère, son père ne l'a jamais reconnu, ni elle ni son frère. PRÉNOM(S) : valandra, c'est le prénom que sa mère a toujours voulu donner à sa fille. AGE :vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le 2 janvier 1989, à londres. STATUT CIVIL : résolument célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. GROUPE : les altruistes. STATUT DU SANG : sang-mêlée, d'un père sorcier et d'une mère moldue. ANNÉE / MÉTIER : dixième et dernière année à lungard. DON/PARTICULARITÉ MAGIQUE: aucune. ANIMAL DE COMPAGNIE : un chat, noir aux yeux jaunes. BAGUETTE : écrire ici. PATRONUS : écrire ici. EPOUVANTARD : écrire ici. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX : studieuse, passionnée, forte, peu sociale mais toujours prête à aider. CRÉDIT : tumblr.

UN SENTIMENT  : l’empathie, elle aime s’intéresser aux autres, leur parler, essayer de comprendre, se mettre à leur place, résoudre les conflits. UNE COULEUR : le vert, le vert foncé, le vert sapin, le vert émeraude, ce sont ses nuances préférées. UNE MATIÈRE SCOLAIRE : l’histoire, il n’y a pas un jour où elle n’apprend pas quelque-chose sur le monde magique, elle qui vient d’un milieu sorcier et cela la passionne. UN RÊVE : vous lui posez une colle, elle ne sait pas, comme la plupart des altruistes, elle passe beaucoup trop de temps à penser aux autres pour s’intéresser à elle et se demander ce dont elle aurait envie ou tout simplement besoin. UN ÉLÉMENT : l’air, elle est fascinée par cet élément qui est là, constant, actif, vivant et indispensable, et pourtant invisible. UN SORT : sourdinam, elle c’est celui qu’elle utilise le plus souvent, pour résoudre des conflits, même sans intervenir directement, le simple fait de baisser la voix d’un interlocuteur à distance empêcher de nombreuses situations de s’envenimer. UNE POTION : le philtre de paix, sans la moindre hésitation, elle l’utilise pour calmer l’agitation des esprits. UNE RELIQUE DE LA MORT : aucune, elle a appris qu’elles étaient toutes peu louables. UN PÉCHÉ CAPITAL : la rancune, envers son père, qu’elle transforme en méfiance injuste contre toute la gente masculine.

Sa mère travaillait dans une assurance, « un truc moldu » comme elle le résumait souvent à l’adresse des enfants venus de milieux purement magiques. Et quand on venait à lui parler de son père, le visage de Valandra se fermait. La pensée de son père ne la blessait pas, mais elle n'avait rien à dire. Elle ne l’avait pas connu. Il avait quitté sa mère quand elle était encore une petite fille. Elle ne savait rien de lui, pas même répondre à la question la plus banale du monde magique : dans quelle maison il avait étudié ? Et sa mère, moldu, connaissait si peu de choses à son sujet, elle n'avait jamais pu lui raconter que l'homme qu'elle avait connu, avec son caractère et éventuellement ses manies, mais rien du sorcier qu'il était. Elle ne lui en veut pas particulièrement car elle ne garde aucun souvenir de lui, ou si peu, une silhouette flou, rien de très bien précis, aucun détail qui ne lui manque. Elle a pour ainsi dire toujours appris à vivre sans lui alors ce qu’elle n’a entre guillemets pas connu ne peut pas lui manquer. Quand elle a commencé à étudier la période de la Guerre de Poudlard, les questions se posèrent parmi ses camarades pour savoir ce qu’avaient fait leurs parents, quels rôles ils avaient joués pendant la guerre. Pour sa mère, Valandra savait qu’il n’y avait rien à savoir, elle faisait partie du monde moldu, elle n’avait pas connu tout cela. Mais son père… C’est seulement à partir de ce moment là qu’elle commença à penser plus sérieusement à lui, jusqu’à s’en vouloir personnellement de n’avoir pas réussit à garder ne serait-ce qu’un souvenir de lui. Bien sa mère n’avait aucune idée de ce qu’il était devenu. D’un côté elle préfère ne pas savoir, de peur de découvrir qu’il faisait partie des mangemorts, ou même s’il elle venait à découvrir qu’il est mort sur le champ de bataille parmi les combattants de l’égalité des sangs. Mais d’un autre côté elle cherche à trouver une pensive pour essayer de retrouver ses souvenirs, sans être parfaitement certaine qu’une fois qu’elle aurait les moyens dans les mains elle oserait le faire.


Son regard s’est horrifié lorsqu’elle a lu dans la Gazette du Sorcier en quoi allait consister la nouvelle cérémonie de répartition. Elle trouvait ce rite avec la lame terriblement barbare… Tout ceci était tellement de ce en quoi elle avait toujours cru, de ce qu’elle avait toujours imaginé, rêvé : Poudlard. Mais elle devait se résoudre à quelque-chose, c’était que Lungard n’était pas un Poudlard ressucité dont on aurait simplement changé le nom. Le nom mais aussi le lieu, l’organisation et toute la structure, toutes les valeurs, toute l’idéologie de l’école allait être différente. Elle n’avait que neuf ans quand la bataille du château eut lieu et dix quand il fut détruit pour laisser place à Lungard. Elle qui avait toujours nourrit ses rêves et son imaginaire du château de Poudlard s’était apprêtée à y rentrer l’année suivante, malgré tous les évènements affreux qui s’y étaient passés, Poudlard restait Poudlard et il ne lui faisait pas peur. Mais dorénavant elle devrait attendre encore jusqu’à ses 16 ans avant d’espérer apprendre la magie. Le temps commençait à se faire long. Elle n’avait personne dans sa famille qui appartenait au monde sorcier pour pouvoir lui expliquer, l’éduquer avant Lungard. Elle se voyait déjà arrivée comme une fleur au château est être tournée en ridicule par les autres. Non pas à cause de son sang, les choses avaient changées, mais parce qu’elle ne connaissait absolument rien. Autant dire qu’elle se démena corps et âmes, aidée par sa mère, pour avoir un contact avec le monde magique, ne serait-ce que pour pouvoir se trouver des manuels qui l’aideraient à apprendre toute seule toutes ces choses que les autres enfants apprendraient de leurs parents. Ce n’était pas chose aisée, mais finalement elle traçait la route pour son petit frère, de deux ans de moins qu’elle, c’était toujours comme cela pour l’aîné, il trace le sillon, il facilite le passage du petit frère ou de la petite sœur. Finalement la nostalgie qu'elle avait pour un Poudlard qu'elle n'avait pour autant pas connu n'eurent pas raison de son désir d'appartenir au monde de la magie. Elle se sentait comme une traitre à aller à Lungard, comme si elle se devait d'être loyale envers la vieille école alors qu'elle n'existait plus et qu'elle n'y avait jamais mis les pieds. Finalement elle daigna bien faire cette cérémonie de répartition, elle s'était renseigné sur Lungard du mieux qu'elle pouvait, elle connaissait bien son sujet, ainsi c'est en parfaite connaissance des factions qu'elle laissa couler son sang sur les galets gris des Altruistes. Et au fil des années, son sentiment passa.

« Val, tiens-toi ! » « Pardon ? » « T’as vu comme tu le regardes ? » « Bah non j’ai pas vu non. » « Tu le dévores des yeux. » « Ah non sûrement pas, il m’intrigue c’est tout. » « Comment ça, il est irréprochable ! » « Justement, c’est louche, surtout venant d’un Eagles. » Elle n’avait pas toujours sur ce que le patronyme Eagles voulait dire, dans le monde magique, et surtout aux Etats-Unis, puisqu’ils y sont originaires. Mais elle avait appris, grâce à son oncle. Elle avait toujours eu une relation très forte avec le frère de sa mère, qui était devenu son parrain, le seul homme au fond à qui elle accordait sa confiance et son affection. Tous les autres la dégoûtaient, d’ailleurs elle ne cherchait même pas à devenir amie avec un ou deux camarades masculins. Dans les couloirs les rumeurs allaient d’ailleurs bon train sur son sa méfiance tout particulière à l’égard de la gente masculine, jusqu’à aller dans des hypothèses sur sa sexualité. Elle savait que les Eagles étaient une famille de Sang-Pur qui comptait énormément dans le monde magique, leurs membres avaient toujours été d’excellents sorciers, des gens d’ambitions mais qui pour améliorer toutes leurs performances devaient inévitablement se concentrer sur eux-mêmes seuls. Pour elles c’était tous des audacieux, comme Wilhelmina, la sœur de Caleb, et pourtant il était avec elle, chez les Altruistes. Elle ne comprenait tout bonnement pas comment un Eagles pouvait se retrouver chez eux et son sarcasme lui disait qu’il avait probablement mal compris la cérémonie de répartition ou qu’il avait choisi cette faction pour attirer toutes les louanges sur lui. Et puis son opinion changea, au fil des semaines, au fil des mois, elle le proposer spontanément son aide, ranger sans que personne ne le lui demande les livres que des élèves avaient laissés traîner à la bibliothèque, s’attarder sur le devoir d’un cinquième année… Elle est surprise, mais n’en reste pas moins toujours méfiante, d’ailleurs il doit bien le ressentir, c’est probablement la personne avec laquelle elle est la plus froide de tout l’établissement.

Félicitations ! Ta fiche a été validée par le staff et te voici membre du groupe ALTRUISTE, ne l'oublie jamais et agis en conséquence. Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à aller lire les annexes, tu peux aussi aller les relire, ça peut toujours être utile. Tu as désormais la possibilité de recenser ton patronus, ton métier, ou à rejoindre l'équipe de quidditch de ta maison par exemple ... tout ceci se passe par là. Voilà, tu peux désormais pleinement entrer dans le jeu. La première chose à faire est de te trouver des liens, et nous t'invitons donc à visiter cette partie. Enfin, tu peux créer un ou plusieurs scénarii, mais n'en néglige pas pour autant les autres membres du forum, ils ont besoin de liens eux aussi.
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