C'est le grand jour. Le plus important dans la vie d'un sorcier, à ce qu'on le lui a dit. La cérémonie du choix. J'ai vu quatre de mes frères y passer. Chacun faisant couler le sang sur le verre, chacun allant chez les sincères. C'est une espèce de tradition familiale d'aller chez les sincères. Notre père y tient beaucoup. Je me demande si mes quatre frères se sentent sincère ,au fond d'eux, ou s'ils ont choisi cette faction pour notre père et ne as avoir à subir sa colère. Je ne sais pas. J'en étais convaincue quand j'étais plus petite mais je dois bien avouer qu'ils sont incroyablement sincère et qu'ils doivent donner des envies de meurtres. Pas à moi. Ce sont mes frères, je les aime, j'aimerais juste leur lancer un petit bloclang de temps en temps. Je regarde des visages d'élèves défiler, du sang couler sur des galets, du charbon, de l'eau, de la terre et du verre. Puis, je suis appelée, c'est à mon tour de prendre cette décision. Je me lève, je prends le couteau et je me retrouve face aux cinq coupes représentant les factions. Et je réalise que, bien que j'y ais réfléchi pendant des mois, je n'ai pas encore fait mon choix. Du calme, Anna, du calme. Choisis calmement. Au pire, tu choisis mal, tu te retrouves dans une faction où tu te sens mal, ta vie est donc quasiment fichue et tu vas te retrouver au bord du suicide. Rien de bien grave, donc. Réfléchissons. J'ai déjà éliminé les Fraternels, ils sont sans doute très gentils mais je n'ai jamais pensé à les rejoindre. J'ai aussi supprimé les sincères depuis un long moment. Je ne suis pas une menteuse pathologique et je me sentirais capable de passer ma vie à dire la vérité, je refuse cette faction sans doute par esprit de rébellion envers mon père et histoire de ne pas suivre le chemin qu'ont pris mes frères. Je ne veux pas être un mouton. Il reste donc altruiste, audacieux et érudit. Je suis généreuse, je le crois mais je pense tout de même à moi, et je ne pense pas être faîte pour m'oublier. Audacieux et érudit. Ces deux factions m'ont toujours terriblement attirées. Charbon et eau. Comment peut-on être attirée par deux factions dont ce qu'il y a dans les coupes est si différent. La recherche du savoir. La recherche du risque. Que'est-ce que je veux dans la vie? Creuse-toi la tête, Anna. Tu ne va pas rester comme ça devant ces coupes toute ta vie, tout de même. Qu'est-ce que tu attends dans la vie? Conquérir toutes mes craintes, être livre, vivre dans une vie plus excitante. Ce n'est peut-être pas la réponse qu'aurait donné une érudite. Je m'entaille la main et le sang coule sur le charbon.

Huit heure tapante. Cela fait presque un an que j'ai choisi de faire des audacieux ma faction. Depuis ce jour, mon père fait tout ce qu'il peut pour convaincre mon plus jeune frère - le seul à ne pas encore avoir mis les pieds à Lungard - de rejoindre es sincères. Je n'ai toujours pas compris pourquoi il affectionnait tant cette faction. Et, pour le convaincre, il pointe du doigt les qualités de tous mes frères aînés - tous des sincères - mais aussi tous mes défauts - étant la seule de la famille Lokhart à ne pas avoir choisi les sincères -. Je n'aime pas être dans les parages dans ces moments-là. La dernière fois que j'ai riposté, il m'a frappée. Et je peux dire avec assurance qu'il frappe fort. J'ouvre la fenêtre de ma chambre et je saute au sol en atterrissant sur mes deux pieds. Ca ne parait plus très haut aujourd'hui mais la première fois que je l'ai fait, je me suis cassée le poignet en tombant maladroitement. J’atterris dans mon jardin et voit un garçon qui y est allongé, les yeux fermés. Mort? « Hey » fais-je doucement. Je vois sa poitrine se baisser et se lever doucement. Et je sens son odeur. De l'alcool. Je le touche plusieurs fois avec un doigt puis ses yeux s'ouvrent. « Hum...? » Je le reconnais. C'est un audacieux, il a le même âge que moi et il doit revenir d'un lendemain de soirée. Il n'a pas l'air de comprendre où il est et ce qu'il y fait. Si mon père le voit, il est mal. « Tu vis dans le coin Peter? » Je ne suis pas souvent invitée aux fêtes des Audacieux. C'est arrivé quelques fois. Mais il y a eu une fête, j'étais très excitée, j'en ai parlé à tout le monde. Mes frères ont dû en entendre parler. Et mon père est arrivé. Inutile de préciser qu'il a tout gâché. On ne m'invite plus très souvent car c'est arrivé plusieurs fois. Au moins cinq. Je suspecte mes frères de dire à notre père  quand je vais à des fêtes et où elles sont. Je ne leur dis pas personnellement mais ils doivent en entendre parler. Mes frères sincères vont me gâcher la vie avec leur sincérité. « Hum...Quoi? Tu connais mon nom? » Il ne s'est jamais rendu compte de mon existence. Je ne suis pas une gamine qui reste dans son coin, je ne suis pas la plus populaire mais je n'ai jamais eu le sentiment d'être invisible. Je dois me tromper. « On a passé la cérémonie du choix la même année et on a tous les deux choi... » Il fait un geste de la main pour m'arrêter. J'ose espérer qu'il avait un peu trop bu et que ces souvenirs lui reviennent. Je me sens un peu humiliée. « Oui, oui, tu es une audacieuse, toi aussi, je me souviens. » Oui! Je ne suis pas invisible. Je n'ai jamais parlé à Peter. Je ne sais pas pourquoi. C'est comme ça. Je ne parle pas à tout le monde. « Tu es...Hum...Tu es... » En fait, non. Il ne se souvient pas de moi, pas de mon nom. Il a peut-être deviné la fin de ma phrase ou peut-être m'a-t-il tout simplement rapidement déjà vu. « Je vais me souvenir. Tu es... » Il ne se souviendra pas. Et je m'en veux d'avoir dit son prénom, d'avoir montré que je connaissais son nom alors que, lui ignore qui je suis. « Anna. » On sourit bêtement et je ne sais même pas pourquoi. Il se lève. « Oui, c'est ça. Anna. » Je n'avais pas besoin de sa confirmation. Contrairement à lui, je connais mon prénom. Il s'en va. Et je me demande si, une fois les vacances passées, il sera capable de se rappeler mon nom.
« . »
Les vacances arrivent à leur fin, déjà, ou enfin, selon les jours. Mon plus jeune frère passera la cérémonie du choix et, dès qu'il aura pris sa décision, il ne pourra plus revenir en arrière. Et même s'il ne reste plus que quelques jours avant ce très grand jour, notre père continue de vanter l’intérêt des sincères, tout en insultant les autres factions. Je déteste l'entendre jurer contre ma faction, mais je ne suis pas  d'humeur à me faire frapper, peut-être un peu plus tard. « La sincérité, c'est... » Je n'entendrai pas la fin de la phrase - et je n'y tiens pas - car je m'enferme dans la salle de bain. Je regarde mon reflet. C'est incroyable comme je peux ne pas être jolie. Je me saisi de la paire de ciseau et je commence à couper des mèches de cheveux qui tombe doucement sur le sol. Je coupe, je coupe et je coupe encore. Puis, je m'arrête. Je fixe de nouveau le reflet, il a bien changé. En le voyant, j'ai jeté la paire de ciseaux sur l'étagère et j'ai poussé un cri. C'était une mauvaise idée, une très mauvaise idée. « Anna? Tout se passe bien, Anna? » C'est son frère aîné, il a toqué à la porte de la salle de bain. Elle éclate de rire. A la droite de sa tête, ses cheveux arrivent jusqu'à son épaule et du côté gauche, ils s'arrêtent à son oreille. C'est ridicule de vouloir arrêter maintenant. Alors, elle continue de couper ses cheveux, encore et encore. Puis, elle s'arrête. Ca lui parait bien comme ça. Elle sourit à son reflet. Elle est la même personne mais quand elle se regarde, elle se sent moins gauche, elle se sent plus audacieuse. « Ouvre la porte, Anna. Ca fait plus d'une heure que tu es là-dedans. » Elle se demande la tête que feront ses frères, son charmant - au sens ironique du terme - paternel et sa mère quand ils la verront. Ils ne réagiront pas bien, elle le sait, ils trouveront ça mal. « Tu peux entrer. » Son frère ouvre la porte de la salle de bain. Il ouvre grand la bouche mais aucun son n'en sort. Choqué? Des cheveux blonds traînent sur le sol. Sa sœur ne porte plus ses longs cheveux, elle les a coupé courts. Elle est une audacieuse, elle fait ce qu'elle veut de ses cheveux. Et elle détester ses cheveux longs, ceux de sa mère, ceux d'une fille qui aurait du aller chez les sincères.

Année spéciale que cette année. Je me suis coupée les cheveux - trop selon ma fille mais selon mes camarades audacieux, je suis mieux ainsi - et mon plus jeune frère a choisi de rejoindre les érudits, et non les sincères. Ca me fait plaisir, j'ai l'impression qu'on est l'élite de la famille Lokhart. C'est assez amusant. J'hésitais peut-être pour les érudits mais quand j'entends mon frère me parler, je sais que cette faction ne m'aurait pas plu. Ca fait une heure qu'il me parle de quelque chose qui doit être intéressant et qui est e train de m'endormir. « Et tu vois, le phénomène de... » Je suis contente de le voir aussi passionnée. Ca me fait vraiment plaisir, il n'a pu montrer son côté érudit. Maintenant, il s'en donne à coeur joie. Mais ça devient insupportable, je ne comprends aucun mot de ce qu'il raconte, je me sens idiote. « Va voir ailleurs, l'intello! » C'est un audacieux. Mon frère lui lance un regard puis s'en va sans discuter. Plus âgé et plus musclé que lui. C'est l'audacieux qui s'est retrouvé dans mon jardin, celui qui ne s'était jamais rendu compte de mon existence. « Anna, c'est ça? » Je pourrais presque être touchée qu'il se souvienne de mon prénom, mais je ne suis pas le genre de personne qui est pleine de reconnaissance dès qu'un - beau - garçon dit son prénom. « Oui, c'est ça. Peeta, c'est ça? » J'ai fait exprès de me tromper, donc je ne me suis pas trompée. Je ne sais pas pourquoi mais ça me dérange de lui faire comprendre que je connais - toujours - son prénom. « Peeta? Sérieusement? C'est le prénom le plus moche que t'as trouvé? » J'aurais pu me vexer mais c'est ironique. Et je me suis contentée d'éclater de rire. C'est certain, Peter c'est mieux mais j'imagine qu'on est mieux qu'un simple prénom. « Peter, c'est Peter. C'est mieux comme ça tes cheveux. » C'est le plus neutre des compliments que je n'ai jamais entendu. Mais ça me va. Il n'est pas le seul à dire et je me dis que ce n'est sans doute pas très sincère. Mon frères - des sincères - n'ont pas hésité dire ce qu'ils en pensaient. Ce n'a pas été un moment vraiment agréable. On commence à marcher dans le parc, je ne sais pas pourquoi, on saute par-dessus un trou de temps en temps puis on s'arrête quand on il me demande. « C'était ton ex-petit copain? » J'éclate - encore - de rire. J'aimerais qu'il arrête de me balancer n'importe quoi. Ca me fait rire. Mais je n'ai jamais autant rit à ce que disait un garçon. « Non, non, ce n'est que mon frère. » Il rit aussi. C'est idiot. « Tu t'entends bien avec ton frère érudit? » Je ne pense pas que ça puisse être aussi choquant mais je ne pense pas que ça peut être une mauvaise chose. Au vu de la relation que j'ai avec mes autres frères, j'accepte sans problème les bons moments que je peux passer. « J'ai cinq frères et c'est le seul que je n'ai jamais eu envie de frapper. Mes quatre autres frères sont des sincères et ils sont trop sincères, à mon gout. » Ma sincérité envers ce quasi-inconnu m'étonne. Retrouver un garçon - qui était a une fête la veille - dans son jardin n'en fait pas une connaissance, encore moins un ami. « Hum...Oui, je sais ce que je sais. Ma soeur est...Pfoooou! » On a ri ensemble. On parlé pendant un moment de nos frères et soeur. Ca a été un moment agréable, l'un des plus sympathique que j'ai vécu. Je lui ais parlé de la sincérité de mes frères, jusqu'où elle pouvait aller ainsi que de la colère de mon père. Lui, il m'a parlée de sa soeur fraternelle, comment elle lui radotait que le bonheur et la paix devait passer avant tout, il m'a parlée de son père qu'il n'a jamais connu et de sa mère qui est souvent soûle. Elle ne sait pas pour quoi ils se confient comme ça, autant que elle. Ils doivent avoir l'air de deux sincères, se parlant naturellement avec sincérité. Comme ils le font toujours. Sauf qu'ils ne sont pas des sincères. Elle ne parle jamais avec beaucoup de sincérité, et c'est probablement la même chose pour lui.  « Et à propos de tes ex-petits copains? » J'avais été contente de changer de sujet quand il avait proposé que mon frère pouvait être un de mes ex. Au moins trois de mes amies sont des ex de Peter, qui lui ne doit connaitre aucun des ex d'Anna. « Euh...Je... » J'ai du mal à répondre. Ca ne devrait pas être aussi dur. Mais elle a l'impression qu'il va l'humilier, une nouvelle fois. Allez, ma petite Anna. Tu peux inventer un ou deux noms, en espérant qu'il ne cherchera pas à en savoir plus. Maintenant qu'on a commencé dans ce jeu de la sincérité, il n'y a plus qu'à continuer. « Je n'ai pas d'ex petit copain. » J'ai envie de me gifler dès que j'ai prononcé ces mots. Je n'aurais pas dû le dire, ça ne le regarde pas mais je lui ais comment dit, à ce garçon que je connais à peine et ça me met plus que mal à l'aise. « Quoi? Tu as dix-sept ans et tu n'as pas d'ex! Je suis choqué! » Je pourrais presque être touchée qu'il soit aussi choqué. Je ne comprends pas qu'il le soit autant. Je ne crois pas que j'ai quoi que ce soit d'attirant pour les garçons. Et ça ne s'est surement pas arrangé avec mes cheveux courts. « Peter, les garçons ne s'intéressent pas à moi. » Ca, c'est une évidence. La preuve est, qu'à leur rencontre, il a été incapable de se souvenir de son nom. On ne s'intéresse pas à elle, ce n'est peut-être pas si grave. « Bien sur que les garçons s'intéressent à toi! J'en connais au moins deux! Voire trois. » Je le regarde avec des gros yeux. Il n'est pas un sincère. Il ment. Personne ne s'intéresse à moi et je ne veux pas me faire de fausses idées à cause de lui. Il me cite deux garçons. Un audacieux que je visualise très bien et un érudit. « Tu mens! Je n'ai rien d'intéressant ou d'attirant. » Mes amies n'ont pas vraiment cette image d'elles, je crois. Je crois que je pourrais avoir une meilleure image de moi-même si je n'avais pas vécu avec ma famille, si je n'avais pas vécu avec mon père, un espèce de pro sang-pur sexiste qui ne m'a jamais montré la même affection que mes frères. « Anna, tu es magnifique. » Cette fois-ci, j'ai rit. Une fille normale aurait rougi, remercié ou fait quelque chose de mignon mais ça m'a tellement paru ridicule que j'ai rit. Et puis, il s'est penché vers moi et m'a embrassée.

Trois audacieux et un érudit se promenant dans la forêt interdite. Les audacieux étant mes amies et moi-même, et l'érudit mon frère qui nous a suivi car, selon lui, ses connaissances pourraient nous aider à pas nous faire tuer. S'il le dit. Il a l'air de croire qu'on a choisi cette nuit au hasard. S'il connaissait bien les audacieux, il saurait que non. Mais le comportement des audacieux n'est pas la spécialité de mon frère. Une de mes amies éclairent le bout de sa baguette. On est là, dans l'ombre en attendant le miracle qui ne se produire surement pas. Si! On la voit. La bête, elle n'a pas l'air aussi monstrueuse que dans les livres. Elle m'a même l'air belle et surtout forte. Un authentique loup-garou. Je me demande qui se la première à l'approcher - qui sera la plus audacieuse - et la réponse se fait d'elle-même. Je m'approche, mes amies gloussent - excitées, pas autant que moi mais excitées tout de même. Mon frère me suit. Il est étrange. Il n'a pas un comportement d'érudit et ses tremblements ainsi que la peur qui doit lui ronger le ventre ne lui donnent pas l'apparence d'un audacieux. Il est venu jusqu'à la forêt interdite pour me protéger et il poursuit sa mission. Ca ressemble à un comportement d'altruiste. A voir toujours mon frère dans ses livres, je ne me suis jamais demandé s'il ne se sentait pas plus qu'altruiste qu'érudit. Je me sens égoïste. On s'approche de plus en plus du loup-garou, et mon frère me serre de plus en plus le bras. Je lève la tête au ciel. On n'est pas venu trop tard. Bientôt, le loup-garou reprendra sa forme humaine. On continue de s'approcher jusqu'à ce que le loup-garou se mette à rugie. C'est à ce moment-là qu'on commence à courir. Je crois que mon frère va peut-être mourir de peur et moi d'excitation et de plaisir. Mon père a finalement peut-être raison. Peut-être que nous, les audacieux, ne sommes que des gamins fous attirés par le suicide. J'aime ça. On court longtemps, très vite, le loup-garou est plus rapide que ce que je le croyais mais je ne me sens pas terrifiée pour autant, contrairement à mon frère. Cette course folle dure plus d'une heure, on serait peut-être déjà mort avec mon frère s'il n'avait pas des espèces de tactiques pour ne pas finir en brochette. Quant à moi, je connais la forêt interdite par cœur. Et puis, à un moment, je n'entends plus le loup-garou. Je me risque à m'arrêter et à lever les yeux au ciel. La pleine lune a disparu, le soleil va bientôt se lever. Ce sera un spectacle magnifique, et même romantique si le garçon à côté de moi n'était pas mon frère. Je m'approche de la forme humaine au sol à quelques mètres de nous. Le loup-garou ayant retrouvé sa forme humaine. Je m'avance très près, très près. Je le reconnais, je le connais. Mon premier baiser. Peter. Mon premier petit copain.

Félicitations ! Ta fiche a été validée par le staff et te voici membre du groupe AUDACIEUX, ne l'oublie jamais et agis en conséquence. Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à aller lire les annexes, tu peux aussi aller les relire, ça peut toujours être utile. Tu as désormais la possibilité de recenser ton patronus, ton métier, ou à rejoindre l'équipe de quidditch de ta maison par exemple ... tout ceci se passe par là. Voilà, tu peux désormais pleinement entrer dans le jeu. La première chose à faire est de te trouver des liens, et nous t'invitons donc à visiter cette partie. Enfin, tu peux créer un ou plusieurs scénarii, mais n'en néglige pas pour autant les autres membres du forum, ils ont besoin de liens eux aussi.
Enfin, n'hésite pas à venir squatter le flood ou la chatbox, nous t'y attendons avec plaisir et impatiemment. Et bien sûr, poste des RP à volonté !
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