NOM : Hora, comme un hourra des cœurs! Un vent de bonheur, et de résurrection. N'était-ce pas ce que scande vos intérieurs ? PRÉNOM(S) : Joseph, il n'y que cela. Pas la moindre particule additionnable : simplicité intesidérale. AGE : Il lui semble s'éterniser sur ses trente-et-une années depuis bien des siècles, quand bien même il n'est plus trop certain du compteur. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Vraisemblable, à ses yeux, être en ce bas et merveilleux monde depuis la nuit des temps. En vérité, cet imbécile a trente-deux ans, soit une bonne année de plus qu'il ne le prétend : goût de la jeunesse, amère ? Au moins, il est certain que c'est l'Écosse, sa terre natale. STATUT CIVIL : Solitaire, seulement apprivoisé. ORIENTATION SEXUELLE : L'Amour, s'il est véritable - au risque de passer pour une doucereuse - n'a ni genre, âge ou la moindre chose aussi futile. GROUPE : teachers & co. STATUT DU SANG : Extrêmement dilué : dans son arbre, se mêlent sans la moindre retenue sorciers comme moldus. ANNÉE / MÉTIER : Professeur de potion, ainsi que directeur des érudits.   DON/PARTICULARITÉ MAGIQUE: Je doute que sa perspicacité indéniable en soit un. ANIMAL DE COMPAGNIE : Aussi étonnant que cela paraisse, ce drôle d'homme abrite la charmante créature, exotisme au rendez-vous, qu'est une musaraigne tantôt sombre, tantôt flamboyance superbe. Celui-ci, pour doux dénommé aurait César. D'ailleurs, une bien drôle d'histoire, familiale dira-t-on, est liée à ledit Empereur défunt, mais il serait inutile de la conter maintenant.   BAGUETTE : Noyer noir, et cheveu de vélane. Semblerait-il qu'il ne soit encore tout à fait maître de sa baguette : profond flou intérieur, faisant qu'elle lui désobéit de temps à autre. PATRONUS : Un tigre, irréfutablement aveugle. Jadis, il ne l'était pas, mais les profonds remous intérieurs ont causé la perte de ses yeux : ainsi, bien moins efficace à contrôler. EPOUVANTARD : Un grand vide, là, tout au fond du cœur. Une odeur amère, capiteuse. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX : Tout à fait anxieux, un brin fanatique, irréfutablement curieux, d'une obstination grandiose et d'une perspicacité légendaire.. CRÉDIT : Tumblr.

UN SENTIMENT  : Mi-délectation, mi-anxiété : n'est-ce pas la naissance de la curiosité ? UNE COULEUR : Bleu ravage, inévitablement. UNE MATIÈRE SCOLAIRE : Potion, irréfutablement. UN RÊVE : Si ce n'est percer à jour tout à fait, l'intérieur humain! UN ÉLÉMENT : Feu, dira-t-on. UN SORT : Lumos, pour une lumière instantané qu'il souhaiterait faire naître dans la tête de ses élèves. UNE POTION : Une potion claire, parfaite. Limpide à vos yeux, et infinie à vos cœurs : la connaissance. Soyons sérieux : sa préférée demeure cette Chance Liquide, qui lui a fait réalisé son rêve le plus intense qu'un adolescent pourrait envisager. Hum, curieux, n'êtes vous pas ? UNE RELIQUE DE LA MORT : La pierre de résurrection, sans le moindre doute. UN PÉCHÉ CAPITAL : L'interdit que l'on outrepasse.

babylon don't love you ; Des couleurs superbes, infinies, sous ses doigts timides. La Terre, merveille des Temps Modernes - selon lui, foulée sous ses pas - minuscule pour un esprit tout à fait l'inverse, représentait bien plus qu'un asile : elle éveillait ses sens, les exacerbait avec passion. Ce fut ce jour, qu'il avait assimilé à son sacrifie à l'Univers - dans une moindre mesure, fallait-il avouer, il s'était juré d'être alerte sur la plus infime chose : d'apprivoiser tout à fait les secrets les plus puissants, et davantage encore.

Chevelure rousse, distraite. Sourire éteint, un brin. Toujours, à son souvenir d'infinis sentiments éprouvés ; n'était-ce pas une tristesse intersidérale ? Il ne saurait guère vraiment décrire ce que représentait - tout au plus profond de lui - la perte, bien avancée d'une mère. Évidement, même durant ses jeunes années, il y avait été confronté, de la perdre tout à fait : bien des mois avant son réel départ, elle n'était nul autre part qu'un ailleurs nébuleux, où son esprit se perdait pour ne jamais s'y retrouver. Délavés, ses yeux semblaient, par la fourberie des autres, ou bien par la Vérité qu'elle avait découvert dans ses retranchements les plus distincts. Quand bien même, cette infirmité regrettable ne conduisit guère Joseph à s'en éloigner : même, jamais il n'avait été aussi proche, compréhensif envers cette Merveilleuse. Ses journées se résumaient à des discours qu'il énonçait, des faits qu'il contait avec toute son âme, et bien des douceurs prodiguées. Ce fut sans doute cet évènement majeur, qui apprit au môme de huit ans qu'il était, que l'Humain valait toujours la peine, malgré les apparences.

dust on the screen ; Ce que je m'en vais vous conter là, est sans doute son souvenir le plus brillant, merveilleux qu'il conserve en sa mémoire. Ce fut à l'issu de celui-ci, que notre très cher Joseph fut en mesure de produire un Patronus éclatant - malgré sa difformité évoquée tantôt.

Une détermination nouvelle naviguait en ses eaux profondes ; son monde allait tout à fait se métamorphoser, de la manière la plus seyante qui soit. Prostré au dessus de son chaudron - volutes merveilleuses à ses narines, il ne sut vraiment si son geste n'était que purement profane aux Valeurs, ou le simple Envol d'une attention particulière. Du moins, l'unique certitude résidant se centrait sur sa réussite : l'échec, désormais banni, lui assurait un avenir bien plus reluisant, si ce n'était qu'un simple moment. Potion parfaite. Divine ; résultat convenant tout à fait à l'étendue de son talent. Avait-il seulement raté la moindre fiole, ou même, une ridicule avait osé afficher son imperfection ? Ainsi satisfait, Joseph s'en alla - non sans omettre de nettoyer toute preuve de son infraction, et s'apprêta, dans tous les sens inimaginable, à son acte de Passion. Perfecto moldu, d'un vert drôlement adorable, étriqué. Sa rousseur, coiffée comme une ode aux années d'Elvis, et un simple t-shirt blanc, lui-même serré, une référence à Brando, ou bien, un autre sot. Évidement, ce cher Écossais ne pouvant tout à fait se défaire d'un preppy évanescent, accompagna le tout d'un pantalon à pince, d'un Merveilleux Marine. Ah, la belle élégance! Derbies aux pieds, il se sentait ainsi voler. Joli-Cœur de seize maigres années, il approcha de ses lèvre, l'infini poison. D'une traite, il fit de son affaire le Felix Felicis, faisant alors dans son corps affluer une sensation exquise : n'était-ce pas un Courage, une Confiance Foncière ? Il n'aurait su que dire.
En ce jour merveilleux, il conquit tout à fait celle qui sera, quatre années durant, la femme de ses moments les plus lumineux. Évidement, je ne serais en mesure de vous conter de quelle manière cette Véritable Comédie Romantique s'est terminée, ceci étant que trop profondément ancrés dans ses retranchements.

broken machine ; Une telle cérémonie, si grandiose, lui évoqua la sublime Répartition, qui jamais ne s'était tout à fait détachée de lui. Quand bien même, il était vrai qu'elle différait grandement : ni Choixpeau flottant sur vos tête, ni la moindre conversation intérieure avec un autre être que soi! Joseph se remémora sans la moindre faille - osons espérer - cet évènement qui lui a causé toute son appréhension, tout le Poudlard Express durant. Son nom, plutôt dans les premiers, lui causa davantage de crainte qu'un dragon à vaincre. D'ailleurs, il s'était même préparé à cette éventualité, en s'accaparant déjà quelques modiques sortilèges. S'en suivit alors, d'un grand débat avec cet être si mystérieux! Comment peut-il s'épanouir dans un miteux couvre-chef ? Les esprits d'enfant galopants. Il se souvint aussi des multiples choix auxquels il s'était tenté, pesant le pour et le contre, à la manière de quelques devoirs d'école. Les Serpents ? L'ambition lui manquait certainement, et la roublardise n'avait en lui, la moindre place. Quand bien même, plus tard, ne se servirait-il pas de ses connaissances sur l'Humain à ses fins ? Oh, que de maigres fois, plaide-t-il! Peu importe. Il n'eut guère l'affront de se demander si Poufsouffle était, seulement, un choix d'avenir : il se tourna alors vers Serdaigle, bien plus approprié ; quand bien même, cet éveillé de chapeau, lui conseilla de prêter bien plus attention à la maison dénigrée : son bon cœur, sa volonté d'aider... Aussitôt, Joseph s'enquit à ne plus laisser de tels racontars filer à ses oreilles. Ainsi, il fut envoyé à Serdaigle, la maison de sa mère.

Changement radical de méthode, songea-t-il alors qu'il siégeait dans le superbe bureau du directeur. Son costume le serrait, et ses cheveux n'étaient guère si flamboyant que cela : les années de solitude l'avait réduit à une bien pale image de lui même, quand bien  même elle ne saurait tarder à s'effondrer : bientôt, il sera un homme neuf. « Monsieur Hora, Joseph n'est-ce pas ? Avez-vous ne serais-ce réfléchi à quelle faction vous représenterait de la meilleure manière qui soit ? » Un sourire apparut, premier d'une longue liste à vrai dire, sur les lèvres du futur enseignant. « Oui, avec tout mon respect j'y ai murement réfléchi. »  Même, il n'aurait su faire meilleur choix. « Je voudrais faire parti des Érudits. D'ailleurs, j'ai entendu parlé qu'il leur fallait un directeur... » On ne se refait pas, visiblement.

Félicitations ! Ta fiche a été validée par le staff et te voici membre du groupe TEACHERS & CO', ne l'oublie jamais et agit en conséquence. Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à aller lire les annexes, tu peux aussi aller les relire, ça peut toujours être utile. Tu as désormais la possibilité de recenser ton patronus, ton métier, ou à rejoindre l'équipe de quidditch de ta maison par exemple ... tout ceci se passe par là. Voilà, tu peux désormais pleinement entrer dans le jeu. La première chose à faire est de te trouver des liens, et nous t'invitons donc à visiter cette partie. Enfin, tu peux créer un ou plusieurs scénarii, mais n'en néglige pas pour autant les autres membres du forum, ils ont besoin de liens eux aussi.
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