I tried to get up but I could not find my feet ± JAYDEN

‹ audacieux › Mes Parchemins : 46 Ici depuis le : 09/07/2014

JAYDEN HOLLOWAY

I need you to need me back

NOM : Y a ceux qui attribuent une valeur sentimentale importante à leur nom de famille, puis il y a les Holloway. Cette famille de moldus qui crèchent depuis des générations dans les landes galloises et qui n'ont que faire de leur image ou de ce que leur nom peut évoquer chez les autres. PRÉNOM(S) : Jayden, la légende dit que tous les hommes de la famille ont portés ce prénom pendant de très longues années. Jayden ignore pourquoi ses parents ont décidé de le nommer comme leurs ancêtres et honnêtement il n'en fait pas tout un plat et se trouve même apprécier son prénom. Il aurait pu s'appeler Gérard. AGE : Il est âgé de trente-deux ans et compte bien profiter de la vie pendant qu'il en a encore le temps. Le passé lui a déjà que trop bien appris que du jour au lendemain tout peut changer et s’arrêter. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Jayden est né dans la ferme familiale au pays de Galles un 24 décembre 1982. STATUT CIVIL : Le professeur est célibataire. Il entend encore ses proches lui dire qu'il serait peut-être temps qu'il se case et pense à fonder une famille, mais il n'en a clairement ni l'envie ni le temps. ORIENTATION SEXUELLE : Certains préfèrent les femmes, d'autres les hommes. Jayden est de ceux qui disent oui à tout, tout le temps. Il aime se réveiller auprès d'atouts généreux et féminins tout autant qu'il apprécie suer contre un autre torse d'homme. Il est fondamentalement bisexuel. GROUPE : teachers & co . STATUT DU SANG : C'est un né-moldu. ANNÉE / MÉTIER : Il est professeur d'étude des moldus depuis deux ans. Petit il voulait être médecin, puis il a grandit, a commencé à se forger ses propres rêves et s'est finalement, et à la surprise générale, tourné vers la branche de l'éducation. DON/PARTICULARITÉ MAGIQUE: Ça lui est tombé sur le coin du nez sans qu'il puisse même y avoir pensé. Jayden a participé à la bataille de Poudlard, il était jeune, il avait quatorze ans, il pensait pas que quelque chose comme ça pouvait lui arriver. Alors il a pas fait gaffe, il s'est pas forcément inquiété, il était pris dans le feu de l'action et l’adrénaline lui dictait parfois de faire des choses insensés. Ça se passa très vite, il percuta quelqu'un, il se retourna et il comprit pas tout de suite. Il avait pas reconnu le mangemort, il avait pas fait le lien entre lui et ce que signifiait cette pilosité avancée. Geybrack, ce soir-là, à mordu Jayden. C'est à quatorze ans, sur un champ de bataille, que Jayden devint un lycanthrope. ANIMAL DE COMPAGNIE : Jayden ne possède pas d'animal de compagnie, il se connait assez pour savoir qu'il finirait par le donner à quelqu'un au bout de deux semaines. BAGUETTE : Faite en bois de pommier, elle mesure trente centimètres et contient un ventricule de dragon. PATRONUS : un ours, n'allez pas lui demander pourquoi il n'en aucune idée. EPOUVANTARD : La noyade, si Jayden se vante parfois de ne pas craindre grand chose, la noyade doit être ce qui le pétrifie sur place. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX : possessif, intense, passionné, jaloux, précis, fidèle, ponctuel, franc, cru, affectueux. CRÉDIT : tumblr.

chinese portrait

UN SENTIMENT : Le soulagement, il trouve ce sentiment intense, très intense et si il devait être un sentiment, ce serait le soulagement. UNE COULEUR : Le noir, la base neutre du vide pour tout reconstruire. UNE MATIÈRE SCOLAIRE : Le vol sur balais, la sensation de liberté lorsqu'il vole sur un balai l'a toujours apaisé UN RÊVE : Trouver la paix intérieur entre lui et le loup UN ÉLÉMENT : le feu, pour ce qu'il est passionné et intense. UN SORT : lumos UNE POTION : le tue-loup UNE RELIQUE DE LA MORT : la cape d'invisibilité, pour pouvoir disparaître des yeux de tous. UN PÉCHÉ CAPITAL : La luxure

tell me who you really are

PRÉNOM / PSEUDO : julie/reckless corner AGE : dix-huit ans RÉGION : la belle Alsace FRÉQUENCE DE CONNEXION : presque omniprésente (a) COMMENT ETES-VOUS ARRIVE SUR LE FORUM ? Via bazzart ;) AVATAR : milo ventimiglia. AUTRE CHOSE ? Et c'est reparti mes cocos

‹ audacieux › Mes Parchemins : 46 Ici depuis le : 09/07/2014

Stories can conquer fear, you know

citation

ACT I ± s.one - huit ans
Tu fermes les yeux, la paume de tes mains plaqué contre tes oreilles. Tu aimerais devenir sourd, pour ne plus entendre ces mots, ces insultes, ces voix qui se cherchent, qui se trouvent, qui se tordent et s'assassinent à des rythmes soutenus au plus noir de la nuit. Du plus loin que tu puisses te souvenir, ça a toujours été comme ça, ils ne se sont jamais aimé. Où si ils ont étaient amoureux, tes parents l'ont très bien cachés. Ta mère n'est pas heureuse, sa vie ne lui convient pas. Elle rêvait show-biz et paillette alors que ton père ne lui a jamais proposé que du fumier et de la terre. Mais elle n'est jamais parti, au contraire, elle s'est encré dans cette campagne galloise et a scellé son destin en mettant au monde cinq enfants. Toi, t'es l'avant-dernier. Après toi y a Jäda, ta petite soeur même pas assez grande pour savoir qu'elle vit et pense. La première fois que tu as posé les yeux sur ta petite-soeur, t'as eu un flash, t'as été transpercé. Tu t'es promis de la protéger contre tout et contre n'importe qui, qu'importe les blessures que tu en récolteras.

Tu te glisses hors du lit, la plante de tes pieds entre en contact avec le sol frais alors que le silence plane dans la maison. Silence éphémère car bientôt tu te rends compte que des personnes chuchotent, en bas, dans la cuisine. Ta curiosité est piqué au vif, tu sais que tu devrais plutôt retourner te coucher et faire comme si tu n'avais rien entendu, comme tu fais toujours. Mais non, ce soir, tu descends. Tu poses ta main sur la rampe et frôles chaque marche une par une pour finir au rez-de-chaussé de cette vieille battisse agrandit sans cesse pour avoir suffisamment de place. Le couloir est plongé dans l'obscurité mais un mince filet de lumière glisse sur le sol, s'échappant de la serrure de la porte menant à la cuisine. Tu ne comprends pas ce que disent les chuchotements mais tu ne t'arrêtes pas. T'avances, tu poses ta main sur la poignet et tu pousses la porte. Elle grince et tu te retrouves face au dos de ta mère, affalée sur la table, les épaules secouaient de sanglot, un cadavre de bouteille de Whisky par terre et une encore entière dans sa main droite. Tu comprends pas, normalement c'est papa qui boit, pas maman. Maman elle ramène des amis à la maison pendant que papa travaille, elle boit pas elle, c'est papa. T'aimes pas voir ta mère pleurer, alors tu t'avances vers elle. "Maman ?" elle sursaute et fait tomber la seconde bouteille au sol. Elle éclate et un bout de verre vient se loger dans un de tes orteil. La douleur n'est pas immédiate mais quand elle arrive, tu ne peux pas t'empêcher de pleurer. Tu t'assieds par terre et t'enlèves le bout de verre de ton orteil. Tes petits yeux remplis de larme se lèvent vers ta mère. Elle te regarde, longtemps, puis elle recommence à pleurer. Tu comprends pas, tu sais pas. Alors tu te lèves, tu prends un torchon et tu l'enroules autour de ton pied puis tu retournes te coucher, les yeux encore humides.

Tu diras rien à papa. Non. Tu lui diras rien.

ACT I ± s.two - quatorze ans
Tout fait rage autour de toi. Tu sais plus où donner de la tête, y a trop de bruit, y a trop de cris. Les cris des gens que tu aimes, que tu apprécies, que tu détestes et d'autres dont tu ignorais jusqu'à l'existence. Les cris, tu n'entends que ça et ça te hante, ça te désarçonne et te déboussole. Encore une fois tu voudrais devenir sourd, pour pouvoir te concentrer et pas mourir. Parce que là, c'est ce que tu risquais, ta peaux. D'une seconde à l'autre, un sort impardonnable pouvait te toucher et t'abattre sur le champ, réduisant ton existence à un souvenir court et pas très attrayant. Tu fermes les yeux quelques secondes, tu raffermies ta prises sur ta baguette et tu rouvres tes paupières. La cour est jonché de corps, de gravats et toi, t'es là avec ce morceau de bois pointé vers tout et rien en même temps. Tu tournes sur toi-même, tu te baisses pour éviter des sorts. Tu veux aider, tu veux te battre, tu veux pas juste rester planter au milieu du champ de bataille. Mais tu sais pas quoi faire, t'as pas appris ce que tu devais faire dans des situations comme ça, on vous la jamais dit, on vous a toujours enseigné comment vous défendre contre des sorts scolaires, mais les impardonnables t'en a jamais entendu parler plus que ça. Tu sais même pas quoi faire avec ta baguette, tu serais d'autant plus utile avec tes poings mais t'as tellement les jetons que tu sers à rien.

Tout se passe vite, trop vite, aujourd'hui encore tu sais pas si ça s'est réellement passé comme ça. T'as rien vu venir, t'as rien entendu, t'as juste senti. T'as senti un souffle lourd s'étaler contre ta peau et un corps massif t’envelopper et te serrer comme un animal sert sa proie. Tu te souviens de la douleur des ongles, ou dirais-tu plutôt des griffes, s'enfonçant dans tes cotes, venant chatouiller tes os et déglinguant totalement ta notion de la douleur. T'as pas mal, tu crèves, c'est trop fort pour être senti totalement, t'as ton cerveau qui réussit plus à encaisser alors ça coupe. D'un coup c'est le noir, le flou. Tu sens plus, tu respires plus, tu vois plus, tu vis plus mais tu meurs pas. Parce qu'il arrête à temps, parce qu'il a décidé de te laisser la vie sauve ou tout simplement parce que quelque chose de plus intéressant l'appelait ailleurs. T'en sait rien.

ACT II ± s.one - quinze ans
Le cuir du fauteuil crisse à chacun de tes mouvements et comme le silence écrase la pièce, tu fais exprès de t'articuler sur ce fauteuil. Histoire de faire du bruit, d'agacer cet homme face à toi qui te regarde avec ses lunettes ridicules. T'es pas à l'aise et tu veux tout faire pour l'énerver, qu'il te dise de t'en aller et de ne plus jamais revenir. Parce que tu n'as pas envie de parler, pas à lui, à personne. Tu sais même pas pourquoi t'es là. Ah si, rectification faite, tu sais. Tes parents ont cru bon de s'adresser à un psychologue moldu pour régler des problèmes qui se sont passés dans le monde sorcier. Alors même si tu l'avais voulu, t'aurais pas pu lui causer à ce mec. Et tu veux pas, ce qui règle totalement la question. Il reste immobile sur son grand fauteuil en cuir noir et te regarde, il bouge pas d'un cil et toi t'es de plus en plus mal à l'aise. Tu te mets à compter les minutes qui passent tout en continuer de te tortiller. Dix minutes passent sans que rien d'autre ne vienne rompre ton petit manège débile et immature. Puis tu vois le psy se pencher, se munir d'un stylo et écrire une ligne de texte sur une feuille vierge. Puis il repose le stylo, croise les bras et se remet à te fixer. Toi aussi tu le fixes, tu le fixes en fronçant les sourcils. Il se muni à nouveau du stylo pour écrire une nouvelle ligne. Ça t'agaces, de pas savoir ce qu'il écrit et la raison pour laquelle il écrit. Y a rien à marquer, y a rien à immortaliser, tu fais juste l'idiot sur un fauteuil pour éviter le silence et essayer de jouer le salle gosse en pleine crise d'adolescence. C'est quand pour la troisième fois il se muni du stylo que tu te penches vers lui pour lui prendre le stylo et le laisser tomber par terre. "Arrêtez de marquer des trucs sur votre feuille." que du dit d'un ton méprisant. Il te regarde, lève un sourcil interrogateur et prend un autre stylo dans son bocal. Tu répète ton manège et le stylo fini à nouveau par-terre. "J'ai dit stop." mais il continu, il te regarde, il te fixe et une moue que tu saurais pas décrire vient s'afficher sur son visage grassouillet. Il te fixe, croise les bras et t'adresse un regard amusé qui te met hors de toi.
Ni une, ni deux, tu bondis de ton siège, te saisis du bocal rempli de stylos et l'envoi voler contre un mur. Le verre se brise et tout s'étale au sol. "ARRÊTEZ BORDEL !" Tu le regardes, tu fulmines et ta respiration s'est accéléré. "Asseyez-vous monsieur Jayden. Je pense que nous pouvons commencer." ton regard assassin pourrait lui arracher la peau du visage et une haine que tu ne te connaissais pas vient épouser tes poumons et ta gorge alors que tu fais le tour du bureau pour empoigner le gros monsieur par le col. Tu le soulèves de son siège et plonge ton regard devenu sombre dans le sien soudainement incertain et apeuré. "Écoutes moi bien, j'ai pas besoin d'un psy, ok ?! J'ai pas de problèmes, tu sais rien de ma vie et t'y comprendrais encore moins quelque chose si je venais à t'en parler ! Alors maintenant tu vas gentiment marquer que je vais bien, que mon cerveau déconne pas et que je ne suis pas mentalement instable. Fais-le." que tu ordonnes en le laissant retomber sur sa chaise. Tu prends au passage la feuille sur laquelle il avait passé son stylo et tu y lis une liste de course. Tu déchires la feuille et laisse les bouts de papier tomber au sol dans un silence glacial. Il s'était joué de toi, c'était un test. Il te regarde, un petit sourire en coin prostré sur son visage rondelet "Je pense que nous allons nous voir souvent jeune homme...Très souvent. "

ACT II ± s.two - seize ans
On t'a dit que t'avais le choix. Le choix. Tu l'as pas eu souvent ces derniers temps, en fait tu ne te souviens plus du jour où tu as pris une décision pour toi. Ca te fait bizarre, de te dire que tu vas pouvoir décider dans quelle faction tu vas être. Là, marchant dans une grande pièce regroupant tout les élèves, t'as un peu l'impression de pas être à ta place. C'est bizarre, vraiment bizarre. T'as encore l'impression de trahir Poudlard, de rien avoir à faire là. Pourtant ça fait déjà bien deux ans que cet établissement marche et promet une éducation solide et fiable à ses élèves. Toi tu te dis que t'en as encore pour dix ans, que tu sortiras jamais de tes études. Avant tu te pensais libre à dix-sept ans, et non , finalement ce sera vingt-six. D'un côté tu te dis que ça ne peut que t'être utile, toi qui sais pas quoi faire de ta vie, au moins t'auras le gîte et le souper pour encore dix ans.
On appelle ton prénom et tu te diriges vers les cinq coupes disposés les unes à côté des autres. Altruiste, Fraternel, Sincère, Audacieux et érudit. Tu te rends finalement compte que t'as pas vraiment réfléchi à ce moment, cet instant où tu devras laisser couler une goutte de ton sang dans l'une des trois factions. T'as la gorge qui se sèche. Tu sais pas. Tu sais pas où aller. Avant t'étais à Griffondor, t'as jamais su pourquoi. Là, tu peux choisir et tu sais toujours pas quoi faire. Tu réfléchis alors très vite. Tu n'iras pas chez les érudits, la connaissance pour la connaissance t'importe peu. Les altruistes te rebutent, t'as aucune envie de vivre pour les autres ! T'es pas généreux, t'as peu mais tu veux pas le partager. Tu t'as toi, tu te suffit à toi-même, tu veux de personne d'autre dans ton entourage. T'as pas envie de blesser quelqu'un à ton tour. C'est à ce moment précis que tu sais où tu vas aller, que tu sais pourquoi. Alors tu te saisis d'une lame, tu la passe sur ta paume et tu laisses tomber une goûte de ton sang dans la coupe des Audacieux. Voilà. C'est fait. T'as décidé. T'as décidé de rejoindre ceux qui veulent affronter leurs peurs, ceux qui décident de vivre intensément et sans craindre de craindre. T'es pas un rouge et or pour rien, la vie, cette bête en toi, tu vas lui faire voir qui est le patron parce que tu refuses de blesser qui que ce soit et que t'as envie de devenir quelqu'un de bien. Tu veux pas de cette noirceur dans ton âme qui t'étouffe depuis déjà trop longtemps.
Tu reposes la lame, te retournes et rejoins quelques personnes qui te font signe, des Audacieux. "T'as fait le bon choix mon gars !" te dit une voix féminine à l'accent italien alors qu'une tape amicale atterrie sur ton épaule. Tu grognes un peu, t'as pas l'habitude. Ils s'en formalisent pas, tu les en remercie intérieurement. "Au fait, moi c'est Nikita." tu croises le regard de la demoiselle et lui adresses un sourire qui te coûte toute ton énergie "Moi c'est Jayden."

ACT II ± s.three - vingt-trois ans
"Tu as pris ta potion Jay' ?" sa voix cogne dans ta tête alors que tes doigts tambourinent le bois du bureau de la salle de classe dans laquelle elle t'avait donné rendez-vous il y a quelques heures. Tu l'écoutes pas, sa question t’énerve. Bien sur que tu l'as pris cette foutu potion, t'es pas inconscient non plus. C'est juste que sa voix t’énerve, que sa présence t'énerve que le simple fait que tu puisses penser te met hors de toi. T'es juste en colère et tu sais pas contre qui, contre quoi. Contre tout peut-être. Elle tourne en rond, elle fait les cent pas. Elle essaie de comprendre qu'est-ce qui va pas, comment elle pourrait t'aider et pourquoi est-ce qu'elle t'aiderait. Elle a pas mit longtemps à découvrir ce que t'étais. Elle est intelligente Nikita, elle a vite deviné. Elle a assemblé les pièces du puzzle ensemble et elle a vu, ça lui a paru évident et elle t'en a tout de suite parlé à force de "t'en fais pas, je le dirais à personne" et de "ton secret est en sécurité avec moi !". Mais toi t'en as rien à faire, le monde pourrait être au courant qu'à chaque pleine lune tu te transforme en gros chien capable de tuer tout ceux à proximité que ça changerait pas ta vie. Ou bien les gens commenceraient enfin à te foutre la paix, ça te serait utile, ça t'aimerait bien ! "Tu m'écoutes au moins ?" sa question te fais lever les yeux et froncer les sourcils vers sa silhouette longiligne et désirable. Tu la fusilles du regard, pour qu'elle se taise. Juste se taire, c'était pas trop compliqué à faire, si ? "A la bonheur, en plus tu ne m'écoutes pas ! Tu sais si..." puis là c'est plus fort que toi, tu te lèves et tu la saisi par les épaules "LA FERME !" ses yeux s'écarquillent alors qu'elle te repousse à grand coup de pied. Elle est énervée elle aussi, elle aime pas quand tu te comportes comme ça avec elle. "Jayden !" qu'elle hurle alors que tu te diriges vers la porte de sortie. Tu te retournes, elle te regarde, elle te fixe, avec ce regard qui éveille en toi haine et désir. Tu le sais, qu'elle sera ta fin, que ta relation avec elle ne débouchera jamais sur un happy ending. Parce que t'as envie de lui écraser la tête contre le sol tout autant que tu voudrais la noyer sous tes baisers ardents. "C'est sérieux, il faut pas que tu restes dans l'établissement pendant la pleine lune." tu soupires d'agacement. Tu te détournes de la porte et tu t'avances vers elle, tu arrives tout près, trop près. "Je sais ce que je fais Niki'. Merci bien." ta voix est cassante, sèche, t'es dur avec elle alors qu'elle ne cherche qu'à t'aider et tu le sais, tu le sais que t'es injuste. Mais à quatre jours de la pleine lune, tu peux pas être autrement. Tu t'éloignes d'elle mais elle te retient par le bras. Tu te retournes et vous vous retrouvez à nouveau face à face, nez contre nez. Son souffle bute contre ton visage alors que ton sang ne fait qu'un tour. Tu vois son visage se rapprocher, près, trop près. Tu saisis ce qu'il te reste de bon sens et tu la repousses aussi délicatement que tu le peux avant de te défaire de son étreinte, de te diriger vers la porte, de l'ouvrir et de t'en aller. Tu peux pas. Non, tu t'es promis de plus faire de mal à personne.

ACT III ± s.one - trente ans
Tu passes ta main dans ta barbe de quelques jours avant de racler ta gorge. Tu inspires un bon coup et tu pousses la porte en bois. Le silence se fait dans la salle, mais tu ne t'arrêtes pas. Tu vas te poster devant l'ensemble des bureaux, tu te retournes pour faire face à l'assemblé constituait d'élèves et tu croises tes bras dans ton dos. Le silence se fait, ils t'observent de la même façon que tu observais tes professeurs la premières fois que tu les voyais. Tu examines chaque visage, tu repères les expressions. "Toi, en rouge. Là" dis-tu en désignant un élève assis dans le fond de la classe. Tu l'entends râler à voix basse pour finalement prendre ses affaires et s'asseoir au premier rang, à la place que tu venais de lu attribuer. "Bien...nous allons pouvoir commencer." tu sors ta baguette et la pointe vers le grand tableau d'ardoise verte au mur. Tu la bouges de sorte à ce qu'une écriture fine et lisible s'affiche au fur et à mesure sur le tableau. "Je suis le professeur Holloway, je vous autorise à m'appeler Monsieur si Holloway est trop compliqué à retenir pour vos petits crânes. Je serais votre professeur d'étude des moldus à partir d'aujourd'hui. tu ranges ta baguette et te retournes vers l'assemblée "Des questions ?" Le silence qui embrasse la salle, tu ne le laisses pas s'installer. Tu racles ta gorge et tu débutes ton premier cours qui portera sur...sur les loisirs moldus tiens !

‹ fraternel › Mes Parchemins : 243 Ici depuis le : 09/07/2014

. Ça suffit amplement, tu sais déjà tout ce que je pense de toi, haha.

‹ audacieux › Mes Parchemins : 524 Ici depuis le : 09/07/2014

‹ audacieux › Mes Parchemins : 147 Ici depuis le : 09/07/2014

raaaaaaaah qu'il est canon
re-bienvenue parmi nous, amuse toi bien surtout

‹ audacieuse › Mes Parchemins : 103 Ici depuis le : 09/07/2014

milo.
re-bienvenue, grand méchant loup.

‹ audacieux › Mes Parchemins : 46 Ici depuis le : 09/07/2014

Merci les amours
Milo → agreuh

Invité

T'es sexy tout barbu I tried to get up but I could not find my feet ± JAYDEN 3581513411

Bon courage pour ta fiche :)

Invité

shame on me j'étais même pas passée baver sur ta fiche. Oui parce qu'on bave, ici. Tu es trop parfait I tried to get up but I could not find my feet ± JAYDEN 4012903586

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on a pas eu le temps de se trouver un lien, avant, mais cette fois ci je veux et j'exige qu'on s'en trouve un I tried to get up but I could not find my feet ± JAYDEN 619713293

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‹ audacieux › Mes Parchemins : 46 Ici depuis le : 09/07/2014

Merci Opale, je te ferais un bisou barbu
Alfie. Toi + moi = on va s'en trouver un bon de lien, j'y crois !

Mes Parchemins : 5 Ici depuis le : 14/07/2014

Bienvenue

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Milo est tellement rare sur les forums...alors qu'il est tellement kdzeofzoepfef I tried to get up but I could not find my feet ± JAYDEN 767474558

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‹ fraternel › Mes Parchemins : 125 Ici depuis le : 09/07/2014

félicitations !

TE VOILÀ VALIDÉ

Cette fois c'est confirmé, tu es la perfection incarnée... J'ai vraiment aimé ta fiche, ton style, ton histoire, le parcours de Jayden... Et la façon dont tu as su imbriquer tout ça à l'univers du forum, on retrouve tout, c'est parfait, vraiment!(alfie)

CHER(E) SORCIER(E),

Félicitations ! Ta fiche a été validée par le staff et te voici membre du groupe Teachers & Co', ne l'oublie jamais et agis en conséquence. Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à aller lire les annexes, tu peux aussi aller les relire, ça peut toujours être utile. Tu as désormais la possibilité de recenser ton patronus, ton métier, ou à rejoindre l'équipe de quidditch de ta maison par exemple ... tout ceci se passe par là. Voilà, tu peux désormais pleinement entrer dans le jeu. La première chose à faire est de te trouver des liens, et nous t'invitons donc à visiter cette partie. Enfin, tu peux créer un ou plusieurs scénarii, mais n'en néglige pas pour autant les autres membres du forum, ils ont besoin de liens eux aussi.
Enfin, n'hésite pas à venir squatter le flood ou la chatbox, nous t'y attendons avec plaisir et impatiemment. Et bien sûr, poste des RP à volonté !
Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous, et espérons que tu passeras de beaux moments sur YOUCANDOMAGIC I love you

‹ audacieux › Mes Parchemins : 46 Ici depuis le : 09/07/2014

Merci Alfie ! Ce que tu me dis là, ça fait vachement plaisir j'avais peur d'être rouillé après ces quelques mois d'absence sur les forums :)

» I'm not sick but still so far away from sane ± jayden

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