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Bienvenue, YCDM réouvre ses portes en ce lundi 14/07.
Sur YCDM, seuls les élèves de Lungard (de 16 à 26 ans) et le personnel de l'école (plus de 26 ans), sont jouables.
La lecture de cette annexe est extrêmement conseillée pour bien cerner le contexte du forum, merci de bien la lire.
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 no one can truly tame a wolf (mf)

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Milo Flores
Milo Flores
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Ici depuis le : 09/07/2014

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MessageSujet: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 13:45



MILO FLORES
mistakes are made so that they can be mend
   




NOM : Flores. Tu le dois à ton père, Oscar Flores, un sorcier né à Londres de parents espagnols émigrés. Son père, Iker, a décidé de s’établir au Royaume-Uni afin de jouer pour les Flèches d’Appleby, avant de disparaître quelques années, foudroyé sur son balai alors que son équipe jouait un jour de tempête. PRÉNOM(S) : Milo Ezra Iker Flores, c’est ton nom complet. Tes parents ont fait un accord, avant ta naissance : ton père serait amené à choisir si le bébé était un garçon, ta mère aurait pu choisir si le bébé était une fille. Milo, c’était le nom de ton oncle, un Cracmol. Ton deuxième prénom, c'est Ezra, le prénom que ta mère avait choisi, si tu étais né sans la protubérance entre tes cuisses. Iker, c’est ton grand-père, surnommé l’ « Attrapeur éclair ». AGE : Vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Tu es né le jeudi 21 mars 1991, à Sainte-Mangouste, Londres, comme ton père et ta mère avant toi. STATUT CIVIL : Tu es célibataire et tu n’as jamais été en couple. Bien que tu assumes parfaitement ta condition particulière, tu as peur de blesser la personne qui partagera ta vie. Enfin, c’est la raison que tu avances quand tes parents s’inquiètent de ta vie sentimentale inexistante. ORIENTATION SEXUELLE : Tu as toujours été très mauvais aux jeux d'orientation. GROUPE : Tu fais parti des Fraternels, même si ton choix n’a pas été simple et qu’aujourd’hui encore, tu te sens attiré par les Altruistes. STATUT DU SANG : Ton père est un sorcier espagnol de sang-mêlé, quoi qu’en dise sa famille. Les Flores ne sont plus une famille de sang-pur depuis deux générations, lorsqu’un des hommes de la lignée s’est marié en secret avec une moldue. Les Flores ont toujours été fiers de la pureté de leur sang et tout a été fait pour étouffer ce mariage et cacher l’union. Ta mère, Michelle Lodge, est une sorcière anglaise, née moldue. Ses parents ont écumé les services hospitaliers pour essayer de trouver l’origine des « particularités » de leur fille, forçant les Oubliators à effacer la mémoire d’une trentaine de médecin dans cinq hôpitaux différents avant que le ministère de la magie ne les contacte pour les rassurer. Tu as trouvé ça tellement cool quand ta mère t’a raconté cette anecdote : se faire remarquer par le ministère alors que tu n’as même pas trois ans, c’est la classe. ANNÉE / MÉTIER : Huitième année – tu est arrivé à Lungard à 21 ans, directement en sixième année. Tu ne parcours les couloirs de l’école que depuis deux ans, après avoir passé seize ans à Jayena, en Espagne. Tu étudies davantage l’art des potions, te destinant à un avenir de guérisseur, comme ta mère, bien que l’animation radio te plaise énormément également et que tu nourries plusieurs ambitions. DON/PARTICULARITÉ MAGIQUE: T’es un loup-garou assumé. Tu ne t’en caches pas, ce n’est pas une tare, encore moins une maladie, et voir ta mère chercher encore aujourd’hui un remède total à la lycanthropie te dérange énormément. Tu  sais que tu serais connu toute ta vie comme Milo Flores, loup-garou et sorcier. Mais c’est ce que tu es et tu le revendiques. Il y a toujours des gens qui sont un peu effrayés, mais tu le comprends. Pendant la dernière guerre des sorciers, certains lycanthrope ont commis quelques atrocités. Mais t’es un loup assumé et inoffensif : tu bois ta potion tous les mois. Tu as appris à maîtriser la bête en toi, et tu n’as pas laissé le contraire arriver. Sauf une fois. ANIMAL DE COMPAGNIE : Tu es accompagné par un chat siamois espagnol qui vivait auparavant avec ta matriarca. Il te suit depuis la mort de sa maîtresse. Il s'appelle Alfonso. BAGUETTE : Vingt-huit virgule soixante-quinze centimètres, plutôt flexible et sensible aux sortilèges informulés. Tes parents l’ont acheté en Espagne, et non pas chez Ollivanders, comme tous les sorciers britanniques. Elle est en bois de poirier et contient un cœur en écaille de salamandre, une créature magique courante dans la péninsule Ibérique. PATRONUS : Quand tu as enfin réussi à produire un Patronus corporel, tu t’es demandé si c’était une blague. Tu t’attendais à un tigre, un lion, pourquoi pas un dragon. Sûrement pas à un papillon. Et comme le dit ton père, les formes d’animaux impressionnants ne produisent pas forcément les Patronus les plus puissants. EPOUVANTARD : Toi, sous ta forme de loup-garou, attaquant un proche. Ta crainte la plus forte, c’est laisser la bête en toi prendre le dessus, un sentiment qui t’a submergé une seule fois en dix-huit ans et qui hante alors toutes tes nuits. TRAITS DE CARACTÈRE PRINCIPAUX : Chaleureux, loyal, fidèle, fraternel, généreux, fêtard, sérieux, travailleur, tenace, amical, bienveillant, sportif, patient, drôle, sous-estimé, combattant, chasseur, têtu, curieux, impulsif. CRÉDIT : tumblr.



   
chinese portrait
UN SENTIMENT  : La liberté. C’est le sentiment que te procure la pleine lune, lorsque tu te transformes et que le monde semble être à ta portée. Tu cours, alors, toute la nuit, jusqu’à ne plus pouvoir et tomber de fatigue. UNE COULEUR : Le rouge. UNE MATIÈRE SCOLAIRE : Les classes de vol ! Tu adores monter un balai, sentir le vent te fouetter le visage et l'adrénaline monter en toi. UN RÊVE : Réparer ton erreur. Convaincre Jed de t'écouter et de te suivre, convaincre Jed de ne pas laisser vaincre par le loup qui est en lui et le guider, comme tes parents et ta famille t'ont guidé. UN ÉLÉMENT : Le feu. Lorsque tu étais assez grand pour comprendre que tu étais bien différent des autres enfants de ton âge, ton père t’a expliqué ce qu’il se passait en toi. Il a posé son doigt au milieu de ton torse et t’a dit qu’un feu brûlait en toi. Un feu que tu dois apprendre à contrôler, un feu que tu dois circonscrire, que tu dois maitriser. Un feu qui, si tu le laisses prendre le dessus, peut faire des ravages, autant sur toi que tu les autres. Ce feu, tu en ressens la chaleur, chaque jour, et encore plus lors des pleines lunes. UN SORT : Rictusempra. Tu maîtrises ce sort à la perfection : quel meilleur sortilège pour te représenter que sortilège de chatouillis ? . UNE POTION : La potion tue-loup, évidemment, celle qui te permet de rester toi, même lorsque tu es transformé. UNE RELIQUE DE LA MORT : Tu es fasciné par le pouvoir que renferme la pierre de résurrection. Tu ne veux pas jouer, ni te moquer de la mort. Tu veux seulement parler à tes ancêtres et en apprendre plus sur ceux que tu n’as pas eu l’occasion de rencontrer. UN PÉCHÉ CAPITAL : La gourmandise. Tu as toujours un paquet de dragées surprises dans ta sac.



   
tell me who you really are
PRÉNOM / PSEUDO : Lo/Apricoat. AGE : Membre du club gériatrique. RÉGION : Perdu entre Auvergne et Limousin. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Quotidienne, avec des pics de présence le week-end. COMMENT ETES-VOUS ARRIVE SUR LE FORUM ? Bazzart ! AVATAR : Diego Barrueco. AUTRE CHOSE ? Je suis heureux de voir ycdm revenir, encore plus fort. Il n’est pas qu’une simple copie de l’ancien forum, mais une copie améliorée, qui donne encore plus envie de s’investir. Bravo au staff et aux membres qui n’ont pas laissé tomber ycdm.
 I love you .




Dernière édition par Milo Flores le Lun 14 Juil - 15:14, édité 6 fois
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Milo Flores
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 13:45



Stories can conquer fear, you know
GOUTTE A GOUTTE
   





LIVRE UN : JAYENA.
Chapitre un : Petit loup. Avril 2005, Milo a 14 ans.
Tu essayes d’étouffer tes rires au maximum. Tu sens l’ire et l’impatience de ton père monter en lui. En vingt ans de pratique, il n’avait pas attrapé un seul poisson, mais il persévérait. Sa canne à pêche dans une main et sa baguette dans l’autre, il scrute, assis sur un rocher, la surface de l’eau en murmurant des paroles incompréhensibles, mais tu te doutes bien qu’il est en train de lancer des jurons à destination des poissons. Le courant fit bouger le flotteur de sa ligne, mais ton père croit en une prise et il relève sa canne vivement, à tel point qu’il en perd l’équilibre et tombe en arrière, criant à destination de sa femme qu’il venait enfin d’en attraper un. Tu te remets alors à rire aux éclats, alors que ta mère sort de la tente en toute hâte. Oscar, ton père, tire sur la ligne, mais son sourire s’efface rapidement lorsqu’il réalise qu’il a été berné. « Rien, rien de rien, et la poiscaille a bouffé l’asticot ! » irradie-t-il, jetant sa canne à côté de lui. « Bombarda ! » peste-t-il alors en direction de l’étang. Tu ne peux plus te contrôler et tu ris à en avoir mal au ventre, tombant toi aussi du rocher où tu étais assis alors que l’eau t’éclabousse. Ta mère lève elle aussi sa baguette et d’un coup de poignet, elle désarme ton père qui entreprend alors de casser, pour la troisième fois aujourd’hui, sa canne. « C’est pas sorcier pourtant, les moldus y arrivent, moi ça fait vingt ans que j’essaie et même pas un petit poisson ! » continue ton padre.

Il a toujours tendance à s’emporter facilement lorsqu’il n’arrive pas à réaliser quelque chose, et encore plus lorsqu’il se lance, sans succès, dans une activité moldue. Tu te remets debout, te tenant le ventre qui est encore douloureux, et tu te diriges vers tes parents. « Padre, ça fait vingt ans que tu pèches ici, peut-être qu’il n’y a jamais eu de poisson dans cet étang, tu ne penses pas ? » dis-tu à destination de ton père. Ce dernier te regarde alors, et tu comprends en le regardant dans les yeux que tu viens de dire quelque chose de très intelligent. Tu t’arrêtes alors, car s’il faut savoir autre chose à propos de ton père, c’est qu’il aime encore moins lorsque tu te montres plus astucieux et plus vif d’esprit que lui. Vos regards se mêlent encore pendant un petit instant. Ta mère se met alors à glousser derrière ton père, qui déboule alors vers ta direction. L’écho résonne alors des rires de la famille Flores. Ton padre, bien plus grand que toi, avait réussi à te rattraper en quelques foulés et te frotte le crâne. « Ha, ha ! Tu te moques moins, maintenant, petit loup ! » lance-t-il dans un éclat de rire. « Arrête ! S’te plait, je me moquerai plus, je resterai calme, comme une carpe si tu veux ! ». Vous continuez à rire pendant une dizaine de minutes, alors que ta mère répare la canne de ton père et rentre les affaires à l’intérieur de la tente.

La nuit tombe doucement, mais tu n’en avais pas conscience. C’est les mots de ta mère qui tombent sur toi comme un couperet et qui te ramène à la réalité. « Il est bientôt l’heure... Milo, bichon, rentre maintenant... » dit-elle. Tu t’arrêtes alors d’embêter ton père, alors que tu venais juste de retourner la situation à ton avantage et que tu le torturais en le chatouillant. Tu regardas le ciel qui s’assombrit de plus en plus. Tu te lèves alors et tu te met à marcher en direction de la tente. Tu croises ta mère, qui te regarde avec la même appréhension qu’elle arbore chaque soir de pleine lune, mais tu ne t’arrêtes pas. Tu jettes un œil derrière toi avant de pénétrer à l’intérieur de la tente, agrandie par magie, et tu aperçois ta mère, baguette en main, qui tend à ton père la sienne. Il y a toujours un risque minime que la potion tue-loup ne fonctionne pas, tes parents se doivent de prendre des précautions, tu le sais.


Chapitre deux : Famille. Octobre 1998, Milo a 7 ans.
Tous les meubles avaient été poussés contre les murs, afin de s’assurer que ta mère n’apparaissent pas sur une antiquité de la famille Flores, ou sur une des plantes de la tante Raimunda. Oui, l’important, c’est de sécuriser la pièce, et non pas la piste d’atterrissage de ta mère, comme tu l’as compris du haut de tes huit ans. Ta madre était partie depuis trois mois pour rendre visite à sa famille restée en Angleterre. C’était la première fois qu’elle remettait les pieds sur le sol anglais depuis la mort du mage noir dont tout le monde parle, Vuldemuerta, comme dit tante Ximena. Un sale type. Tu tires la manche de la personne la plus proche de toi, sans regarder de qui il s’agit, et tu demandes « Elle arrive quand, maman ? ». Tu entends la matriarca, ton arrière-grand-mère, arriver derrière toi, assise sur sa chaise magique roulante. Ses aiguilles à tricoter la suivent de prêt, flottant dans les airs tout en travaillant à la réalisation d’un pull en laine rouge. Elle te répond, avec sa voix cinglante et perçante : « Bien assez tôt, petit loup ». Tu te retournes et tu continues à fixer le plafond de la pièce. Tu ne sais pas vraiment par où elle va apparaître, tu sais juste qu’elle va se pointer au milieu de la pièce, si tout va bien. « Il ne faudrait pas que la Chica Inglès loupe son portoloin ! » lâche une de tes tantes, celle dont tu n’arrives pas à retenir son nom. Tu en as tellement, entre Raimunda, Ximena, Estefania, Isabel et Isobel, les jumelles, Pilar, celle que tu préfères et l’anonyme. Tu la scrutes, cette tante, et tu essaies de te rappeler son prénom, mais tu n’y arrives pas. Tu sais juste que c’est une des tantes qui aime le moins ta madre, la « Chica Inglès ». Ton père répond à sa sœur, lui lançant un regard noir par la même occasion. « Inmaculada, c’est Michelle, pas la ... Chica Inglès, s’il te plait. Elle doit prendre son portoloin à 10h13, elle va bientôt arriver ». Ton père essaye toujours de faire respecter son choix de se marier avec une anglaise à plusieurs membres de la famille, tante Inma et la matriarca étant celles qui ont le plus de mal à avaler la potion. Mais tu as vite compris que ce n’est pas la nationalité qui est la cause de cette animosité : ta madre est une née-moldue et la famille Flores essaie depuis des générations de restaurer une lignée de sang-pur. La matriarca avance jusqu’à la fenêtre qui donne sur sa voilerie. « Par Merlin, qu’elle arrive, qu’on en finisse ». Tu regardes ton père, mais il ne répond pas. La première chose que tu as apprises, lorsque tu es arrivée chez ta famille paternelle, c’est qu’il ne faut jamais répondre à la matriarca.

Ces gens qui t’entourent et qui attendent comme toi ta madre, c’est ta famille, celle au milieu de qui tu as grandi et partagé ces deux dernières années, depuis la fuite de tes parents. Oscar et Michelle Flores avait décidé, alors que Voldemort et ses mangemorts faisaient leur retour, de quitter l’Angleterre pour rejoindre Jayena, un village entièrement sorcier situé au sud de Grenade, comparable à Pré-au-Lard. Ta madre avait, à contre cœur, laissé derrière elle ses parents. Mais le plus important pour elle, c’était ta protection. Jayena était le parfait endroit pour que tu puisses grandir en toute sécurité, loin de la tumulte anglaise. Tu es arraché de tes pensées par tante Xi qui commence le compte à rebourd. « 5-4-3-2-1 ». Dans un bruit assourdissant et un nuage de poussière, ta mère apparaît, tenant dans sa main un vieux parapluie déchiré. Tu entends la matriarca pester contre le bruit qui aurait dérangé les hiboux de sa volière, l’aigrie Raimunda qui accourt auprès de ses plantes pour les épousseter, alors que tu contentes de courir et de sauter dans les bras de ta madre. Tu l’enlaces, et tu es rapidement rejoint par ton père, puis par les autres tantes, excepté Raimunda, dont l’une de ses plantes carnivores vient de dévorer le chignon. Ta famille, la chose la plus importante à tes yeux, même du haut de tes 7 ans, était enfin au complet.



LIVRE DEUX: PLEINE LUNE.
Chapitre un : Morsure. Juin 2014.
La douleur, tu la connais. Tu as appris à la maîtriser, à la canaliser. Tu la supportes. Elle commence par te bruler à l’intérieur et à se répandre dans ton sang. Tel un poison, elle fait gonfler tes veines et les battements de ton cœur affolé résonnent dans tes oreilles. Tu regardes alors la lune, source de tous tes maux. Elle s’amplifie et tes yeux lupins surestiment rapidement sa taille. À mesure que son éclat s’accroît, tu sens tes muscles se tuméfier et prendre du volume. Tes vêtements se craquent et te laissent nu. Arrive alors la partie la plus douloureuse de la transformation. Tes os se renforcent, grandissent sous ta chair tendue. Tes articulations deviennent plus puissantes, tes mains laissent places à des pattes aux griffes acérées et tes jambes deviennent des pattes velues prêtes à bondir. Ta vision s’agrandit, ton odorat perçoit maintenant l’odeur de ce lapin, pourtant caché dans sa tanière à plus de trois cent mètres de là où tu te tiens. La transformation physique, tu en connais chaque détail, tu la ressens parfaitement, jusqu’au moindre poil qui pousse sur ta peau. Pourtant, ce soir, tu sens que quelque chose ne va pas. Tu sens qu’un autre changement s’opère, au fond de toi, une transformation que tu redoutes. Tu commences à paniquer. Du haut de tes pattes arrières, tu titubes et percutes un petit arbre qui craque sous ton poids. Tu suis sa chute et mord la poussière. Tu as peur. Tu tournes ta gueule et pose tes yeux sur Jed. Tes sens de loup ne te trompent pas. Lui aussi est parcouru de la même frayeur qui est tienne. Quelque chose ne va pas. Pourtant, tu as suivi les mêmes recommandations, tu as avalé cette potion, comme chaque mois, une semaine avant la pleine lune. Pourquoi ? Pourquoi l’homme, qui ne disparaît jamais derrière ton apparence de loup, s’évanouit ? Tu sens la bête qui conquiert du terrain et qui dévore lentement toute conscience humaine qui s’accroche à toi. Mais tu es impuissant. Tu sens des larmes de détresse couler sur tes joues. Ta conscience disparaît, goutte à goutte, pour laisser place à tes instincts de loup. Dans une dernière attaque imparable, la bête s’empare de toi et hurle à destination de la pleine lune, sa maîtresse. Elle se tourne alors pour faire face à Jed. Tu restes là, emprisonné, incapable de bouger, et tu laisses le loup mener la danse. Tu n’es plus qu’un grain de sable au milieu d’un désert de désolation. Tu cries, tu implores Jed de se tirer, mais il ne peut pas t’entendre. Et quelque part en toi, tu ne veux pas qu’il parte. Tu veux refermer ta mâchoire sur lui, sentir son sang se mélanger à ta salive. Tu te fais peur. La bête obéit à sa pulsion de chasseur et fond sur ton ami. Il essaie de réagir, mais l’animal est beaucoup plus rapide que lui et ses crocs s’enfoncent dans son mollet. La satisfaction s’empare de toi. Tu le lâches, lui fait face à nouveau, prêt à le mordre encore une fois. Tu n’arrives plus à faire la différence entre l’homme et la bête. Tu n’es plus Milo, tu es loup-garou. Tu t’abats à nouveau sur ta proie. « INCENDIO » ! Les flammes explosent de l’extrémité de la baguette de Jed. Elles viennent te lécher le visage. Tu vois le regard de ton ami, effrayé, liquéfié, entre les flammes qui te dévorent. La bête souffre et s’effondre. Elle se tortille, mais le feu magique continue à cramer ta chair et ta vision se brouille. Dans un sursaut inespéré face à l’impuissance bestiale du loup-garou, tu te traines jusqu’au plan d’eau. La pleine lune se reflète à la surface de l’eau. Tu y plonges ton visage, ou ta gueule, tu ne sais plus si tu es encore homme ou loup, et tu sens le feu s’apaiser, même si la douleur est encore étourdissante. La tête plongée dans l’eau, la pleine lune semble être devenue le prolongement de ton cou. Lorsque tu sors enfin la tête , tu vois le loup-garou, abattu, ravagé. Ton œil gauche est noir et ta peau est marquée à plusieurs endroits. Tu te couches par terre et te recroquevilles. Tu attends que les effets de la lune commencent à disparaître. Tu sais que cela prendra du temps.  La douleur te lance et te brouille l’esprit. Tu oublies rapidement ce qu’il s’est passé. Tu restes, là, couché, vaincu, et tu attends. Tu n’as que ça à faire. Tu attends, et quelque part dans ton esprit, tu vois Jed, tu aperçois son regard, effrayé, tu te retrouves dans ses yeux, toi, la bête féroce. Tu ne l’as pas mordu ? Tu ne peux pas, tu n’aurais jamais laisser cela se produire. Tu ne peux pas. Tu hurles de désespoir et la forêt se fige, alors que tes yeux se ferment et que ta tête tombe sur le sol mousseux.

Chapitre deux : Cauchemar. Août 2014.
Tu ne te rappelles pas ce qu’il s’est passé, mais au fond de toi, tu connais la réponse, et tu ne veux pas l’admettre. Tu ne veux pas y croire. Tu te débats, mais les gens qui t’entourent ont réussi à t’attacher à la civière. Tu te demandes s’ils ont peur de toi, et ça, ça t’enrage, encore plus que l’idée que tu as pu faire du mal à quelqu’un. Tu viens juste de retrouver ta forme humaine, mais tu te sens encore loup. Ton instinct animal est encore présent. Il a été refoulé trop longtemps par le tue-loup et maintenant qu’il a pu reprendre contrôle de toi pendant plusieurs minutes, il ne va pas s’en aller si rapidement. Tu essayes d’enlever les entraves qui te colle à la civière, tu ne remarques même pas que tu es nu et que ta peau est recouverte de sang. Tu essaies de te libérer, comme un lion en cage, tu cries, tu veux savoir. Par dessus tout, tu veux savoir. Tu vois alors un homme arriver à ta hauteur. Il trottine à côté de toi et te regarde dans les yeux et tu sens au fond de son regard la peur qui le tenaille. Tu remarques alors qu’il tend sa baguette vers toi et tu n’as pas le temps de rugir qu’un flash de lumière blanche t’aveugle. En quelques secondes, tu te calmes et rapidement, tes muscles ne répondent plus à tes ordres. Ta rage est pourtant toujours présente. Immobile, sur la civière, tu as, pour la première fois, le temps de réfléchir. Ton œil gauche est complètement fermé et une douleur irradie alors une partie de ton visage. Tu te rappelles des flammes qui sont venues lécher ta peau et la marquer à jamais. Tu essaies de poser mécaniquement une main sur le côté gauche de ton visage, mais tu es paralysé. Les flammes... Tu te rappelles ensuite des cris de douleur, mais ils n’étaient pas les tiens... Tu étais habitué à la douleur, tu la maîtrises et tu sais la soutenir. Non... Ces cris n’étaient pas les tiens... « Qu’est-ce qui s’est passé ? ». Tu cries, mais personne ne t’entend. Les muscles de ta bouche sont tout autant paralysés que le reste de ton corps. « Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce que j’ai fais ? Pourquoi je ne me souviens de rien ? » Tu essaies, pourtant, de te souvenir, mais la douleur est intense et te brouille l’esprit. Ce n’est pas une douleur comparable à cette de la transformation. Celle-ci, tu la connais et après vingt années de métamorphose mensuelle, tu ne ressens plus que des picotements. La douleur qui te fait pleurer est toute autre. Les flammes... Tu vois alors une baguette, les flammes repartent vers l’extrémité de celle-ci. La scène repasse en arrière dans ta tête, mais le visage de la personne qui se tient devant toi est flou... Encore une fois, tu essaies de crier, mais personne ne t’entend. Mais au fond de toi, c’est le loup qui te répond. « Tu as mordu... »

Tu te réveilles en sursaut. Ta mère est au bout du lit, un large sourire illumine son visage ovale. « J’y suis arrivée ! Cette fois-ci, je suis persuadé que c’est la bonne potion ! Tiens, tiens, essaye, avale ! » Tu repousses la main de ta mère et te contente de dire « Non » d’un ton sec. Tu sais ce qu’elle t’amène. Depuis vingt ans, ton père essayait de pécher. Depuis vingt ans, ta mère, par contre, essayait de trouver une potion pour tuer le loup en toi. « Si, si ! Cette fois-ci, c’est la bonne ! » dit-elle en sautillant de joie et d’impatience. Mais tu ne boiras pas. Tu n’en veux pas de cette potion. « Non » lâches-tu une nouvelle fois. Tu te caches avec les couvertures, même si tu ne pourras plus dormir après le cauchemar que tu viens de vivre à nouveau. Ta mère est pleine d’enthousiasme et d’un geste vif, elle ôte les couvertures qui te cachent. « Maman ! J’aurai pu être nu, ... ou avec quelqu’un, je sais pas... ». Tu te mets assis sur le bord de ton lit et ta mère te tend la potion. « Je t’ai vu nu avant toi ! Et le jour où tu ramèneras une fille à la maison … Bref ! Bois ! » Tu ne relèves pas la remarque de ta mère sur ta vie sentimentale. Tu n’en as que faire. Dans ta tête, tu vois encore les flammes qui te brûlent. Tu te penches vers la table de chevet et tu attrapes ton œil magique que tu enfonces dans ton orbite. Tu clignes des yeux plusieurs fois et quelques secondes après, tu retrouves une vision parfaite. « Milo, je t’en pris, bois ! ». Ta mère insiste. Instinctivement, tu repousses la main de ta mère, mais tu n’as pas mesuré ta force. Elle lâche alors le flacon qui se brise au sol. Tu te lèves et pour la première fois de ta vie, tu laisses ta colère prendre le dessus devant ta mère. « Écoute, tu ferais mieux d’arrêter de te bercer d’illusions ! Je serai toujours un loup-garou, que tu le veuilles ou non. Arrête de vouloir changer ce que je suis, car je vis très bien comme ça ! ». Elle se contente de regarder le flacon brisé et la substance orange qui semble bouillir sur le parquet. Tu sais que depuis que tu as été mordu, elle cherche inexorablement à supprimer le loup en toi. Tu sais qu’en brisant ce flacon, tu venais aussi de briser son rêve que tu puisses mener une vie normale. Tu te calmes, te lèves en enlaces ta madre. « Maman. S’il te plait, arrête de te faire du mal » murmures-tu à son oreille. « Mais... Milo, tu as mor... tu as mordu quelqu’un... ». Tu peux sentir l’effroi dans sa voix et ses larmes qui coulent sur ta joue. « Tu sais autant que moi que c’est un accident. Et ce quelqu’un, c’est un ami, et je vais l’aider, d’accord ? ». Tu te fais alors une promesse, et tu sais que, obstiné comme tu es, tu hanteras la vie de Jed, qui le veuille ou non, jusqu'à ce qu'il assume sa condition, comme toi. Tu fais la promesse que, d'une façon ou d'une autre, tu répareras cet accident.


Chapitre trois : Jed. Septembre 2014.
Tu te rappelles l’état d’excitation qui était le tien lors de ta cérémonie du choix. Les autres élèves autour de toi avaient tous seize ans, tu étais le seul à avoir vingt-et-un ans. Tu savais qu’on se moquait de toi et tu avais même entendu un garçon se demander si tu étais un attardé ou si tu étais juste très avancé pour un gamin de seize ans. Mais tu n’en avais que faire, à l’époque, tout ce que tu voulais, c’était t’entailler la main et verser ton sang dans le bol qui contenait la terre. Tu avais mûrement réfléchi et la faction des Fraternels étaient celle la plus adapté à toi. Tu voulais rencontrer des gens qui partageaient ta joie de vivre et ta gaieté. Tu voulais te faire des amis, toi qui intégrait une école inconnue dans un pays natale qui t’était pourtant étranger. Mais ce choix, il avait été mûrement débattu. Encore dans le bateau qui te menait au port, tu t’étais demandé si les Altruistes n’étaient la faction que tu devais rejoindre. Même si tu deviens Fraternel, tu savais au fond de toi que tu serais également Altruiste. Quand ça avait été enfin ton tour, tu n’avais même pas attendu que le professeur t’invite à procéder au « rituel ». Tu t’étais emparé du couteau et avait pressé la lame dans la paume de ta main. Dans l’excitation, tu n’avais même pas remarqué que tu t’étais tout de même franchement entaillé la main et que ce n’était pas que quelques gouttes qui coulaient dans le bol de terre, mais un filet continue de sang. Quand tu repenses à cette scène et aux yeux effrayés du professeur, devant toi, qui devait pourtant être habitué au sang, tu ne peux t’empêcher de sourire.

Mais aujourd’hui, tu ne regardes pas la cérémonie. Non, tes yeux sont posés sur Jed qui, au bout de la salle, a bien réalisé que tu le dévisageais. Tu essayes de déceler si des changements physiques se sont opérés, mais tu te doutes bien qu’il doit les dissimuler autant qu’il le peut. Tu souris, car tu te mets à la place de Jed, qui doit se demander pourquoi tu le mates comme ça. Il va penser que tu es intéressé, ou que tu as envie de fonder une meute de loup-garou, ou que tu veux finir le travail et le dévorer. Tu le scrutes, tout en t’imaginant ses pensées et en souriant bêtement. Tu te dis que tu dois avoir l’air d’un psychopathe, mais tu n’en as rien à faire. Si, physiquement, Jed est le même qu’il y a quelques mois, tu sens le changement en lui. Tu es un loup-garou, et ces choses ne te sont pas étrangères. Tu sens qu’un de tes semblables se cache au fond de Jed, tu sens qu’il se ment en refoulant le loup en lui. Lorsque la cérémonie est terminée et que tout le monde sort de la grande-salle, tu ne le lâches pas du regard et tu le rejoins rapidement.

Tu marches à côté de Jed et tu essayes de maintenir sa cadence. « Hey ! Mec ! Faut vraiment qu’on parle tu sais. Tu peux pas rester comme ça, j’ai l’impression de me voir, quand moi aussi je suis devenu comme ça ». Rien ne marche, alors tu te dis que le mensonge peut, peut-être, t’aider, mais il n’est pas bête, et toi, tu mens comme un pied. « Bon ok, j’étais pas comme toi, je me suis fait … tu-sais-quoi quand j’étais petit, je n’ai même pas de souvenir de ce moment ». Tu te dis qu’il serait sûrement mieux de commencer mollo et de pas utiliser les mots qui fâchent. « Bref. T’es comme moi, maintenant, et tu pourras rien faire pour revenir en arrière, pour tout te dire, même ma mère a essayé en vain … ». Tu es stressé et tu t’épanches un peu. Mais tu continues, même si tu sais éperdument qu’il ne t’écoute pas. « Écoute, je peux t’aider à te sentir mieux, te soulager... ». Une fille passe, à ta hauteur, au même moment, et à en croire son regard, elle a totalement mal interprété tes propos. Tu en ris. « Ouais, je peux te soulager, alors parle moi ». Il n’écoute pas, tu insistes, tu le suis, mais il n’écoute toujours pas, alors tu l’attrapes par l’épaule et tu le pousses dans un couloir. « Bordel, tu peux m’éviter, faire comme si je suis mort, mais tu dois accepter que je t’aide, merde, parce qu’on ne peut pas traverser ça seul ». Sans ta famille, tu ne sais pas si tu aurais pu être là, lucide, humain. Tu lui fais face, maintenant, et pendant quelques secondes, son regard était posé sur ton œil magique et sur les cicatrices de brûlure de ton visage. « Crois moi. Je peux t’aider. Je ... dois t'aider ». Tu tentes de sourire. Mais tout ce que tu as en retour, c’est un « Va chier » dans la tronche. Mais ça ne te démoralise pas. Au contraire, ça te motive encore plus. Même si Jed est déjà au bout du couloir, tu cries derrière lui : « Je te lâcherai pas, O’Reilly, je te collerai au cul comme une hémorroïde ! ».







Dernière édition par Milo Flores le Lun 14 Juil - 14:27, édité 5 fois
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Zineb Crane (Rosir)
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‹ audacieux ›


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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 13:48

Mon loup sexy des bois !
Re-bienvenue  no one can truly tame a wolf (mf) 2459649661 no one can truly tame a wolf (mf) 2459649661 no one can truly tame a wolf (mf) 2459649661 
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Walkyria Dragomir
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 13:50

re-bienvenue parmi nous, petit loup. no one can truly tame a wolf (mf) 3659518960
je t'aime. I love you
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James Abbot
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 13:55

Milo a l'air vraiment sympathique et puis, il est canon  no one can truly tame a wolf (mf) 305758266 wuut bavee 
je te souhaite la re-bienvenue parmi nous, amuse toi bien aussi  no one can truly tame a wolf (mf) 2797515304 j'imagine que cette fois-ci, on se trouvera vraiment un lien  sourcils no one can truly tame a wolf (mf) 2597810551 
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Milo Flores
Milo Flores
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 14:00

wuutTellement content d'être de nouveau parmi vous ! Rosir, t'es encore plus sexy, mec ! Walkyky, Milo te mord quand tu veux  bavee . Jhrames, tu paries qu'on va en trouver un  wuut  !
Je vous aime  I love you .
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Anonymous
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 14:52

t'es beau, j'en suis presque à jalouser Jed, tiens.
et puis j'adore Milo, son histoire, son parcours no one can truly tame a wolf (mf) 3670133886

comme james, cette fois ci je veux un lien !

Spoiler:
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Milo Flores
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 14:55

Alfie est la coolitude incarnée, et son minois est du genre à déclencher l'ovulation de ses dames aussi ! Merci beaucoup, Al Fie Fie,  I love you no one can truly tame a wolf (mf) 1700907931 . Et puis, tant que Jed n'est pas là, ils peuvent toujours faire des bêtises ensemble  beete .
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Anonymous
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 15:28

Bon bon bon, on t'aime toi, alors re-bienvenue chez toi, tout simplement  I love you 
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Milo Flores
Milo Flores
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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 15:34

no one can truly tame a wolf (mf) 2797515304 ,  no one can truly tame a wolf (mf) 2797515304 . Merci Opale,  I love you .
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Tiberius Cox
Tiberius Cox
‹ fraternel ›


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MessageSujet: Re: no one can truly tame a wolf (mf)   no one can truly tame a wolf (mf) EmptyLun 14 Juil - 16:10



félicitations !
TE VOILÀ VALIDÉ





j'ai beaucoup aimé ta fiche, plus que la première cependant. I love you j'adore ta façon d'écrire, la manière dont milo vit sa lycanthropie et aussi sa relation avec jed. pour moi, c'est donc tout bon. I love you je te valide donc avec plaisir, petit loup. (Leslie)


CHER MILO,
Félicitations ! Ta fiche a été validée par le staff et te voici membre du groupe FRATERNEL, ne l'oublie jamais et agit en conséquence. Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à aller lire les annexes, tu peux aussi aller les relire, ça peut toujours être utile. Tu as désormais la possibilité de recenser ton patronus, ton métier, ou à rejoindre l'équipe de quidditch de ta maison par exemple ... tout ceci se passe par là. Voilà, tu peux désormais pleinement entrer dans le jeu. La première chose à faire est de te trouver des liens, et nous t'invitons donc à visiter cette partie. Enfin, tu peux créer un ou plusieurs scénarii, mais n'en néglige pas pour autant les autres membres du forum, ils ont besoin de liens eux aussi.
Enfin, n'hésite pas à venir squatter le flood ou la chatbox, nous t'y attendons avec plaisir et impatiemment. Et bien sûr, poste des RP à volonté !
Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous, et espérons que tu passeras de beaux moments sur YOUCANDOMAGIC  I love you


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